1. Jour sept


    Datte: 06/08/2022, Catégories: fh, fhh, hplusag, couplus, extraoffre, vacances, train, collection, noculotte, Oral Partouze / Groupe fsodo, hsodo, init, initiat, Auteur: JeffTrois, Source: Revebebe

    ... rendu les affaires à la boutique de l’hôtel, quand on est entré dans la boutique de fringues, dans la cabine d’essayage, j’ai enlevé mes sous-vêtements… Mais viens ! J’en peux plus…
    
    L’appuyant contre la cloison, je lui soulève délicatement une jambe, plie un peu mes genoux et j’entre en elle. Elle est chaude comme un four de verrier deMurano et aussi mouillée que la Lagune. Mon intrusion, espérée, attendue, la fait haleter, ahaner. Elle tente de pousser pour mieux s’empaler, au risque de tomber, puis applique sa joue contre la cloison, les épaules en arrière, elle porte ses mains vers ses fesses qu’elle écarte pour mieux me sentir et m’inviter à aller encore plus loin, au plus profond en elle…
    
    Déjà je sens les prémices de ma jouissance. Je me mords la joue, reprends ma respiration, tente de la contrôler tant bien que mal. C’est elle qui éclate, avant moi… Je l’accompagne pour la laisser aller au bout de son plaisir… ressentant les convulsions de plaisir de son sexe qui se resserre autour de moi, un flot de cyprine dégouline… Je me bloque au fonds de son vagin dont je perçois l’entrée ronde et vorace du col de qui palpite… Quelques longues secondes plus tard, je ressors et cherche l’autre entrée.
    
    Son anus aussi palpite et est déjà ouvert. Il m’accueille avec facilité. J’entre doucement dans l’étroit conduit et entame une progression lente et exaspérante pour Mathilde avant de stopper puis commencer des séries de va-et-vient de plus en plus profonds et de plus en ...
    ... plus forts. Les mains ouvrant toujours ses fesses à ma pénétration, Mathilde halète, respire fort, de plus en plus fort puis lâche un rugissement de plaisir… Avant d’enlever ses mains et les glisser autour de mes bourses, ce qui a pour effet immédiat de me faire lâcher mon plaisir au plus profond d’elle…
    
    Il faut toute ma force pour que je retrouve mon équilibre, car c’est à l’instant précis où je souhaite me glisser hors des fesses de Mathilde que le train s’ébranle, et nous fait dangereusement osciller. Mathilde et moi sommes à moitié nus, trempés de sueur, tentant de nous raccrocher dans les bras l’un de l’autre, riant ensemble de cette manœuvre pour le moins hasardeuse et cocasse.
    
    Après une longue douche, nous décidons d’aller boire un verre au wagon-bar. Ici, comme aurait pu l’écrire Charles Baudelaire« tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté » (L’invitation au voyage, in Les Fleurs du mal, 1857). Au milieu du wagon, un pianiste égrène des notes deHarbach et Kern Smoke gets in your eyes… Au fond, le fumoir, et à l’entrée, un minuscule comptoir avec un service digne duPlazza ou duDanieli. Quelques tables et des fauteuils confortables attendent les voyageurs. Les conversations sont feutrées, les couples se regardent au fond des yeux, quelques-uns contemplent le paysage…
    
    Nous commandons deux coupes de champagne puis nous tanguons vers le coin fumoir où nous trouvons deux sièges. Avec dextérité, un serveur chaloupe jusqu’à nous avec un lourd plateau et ...
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