1. Jour sept


    Datte: 06/08/2022, Catégories: fh, fhh, hplusag, couplus, extraoffre, vacances, train, collection, noculotte, Oral Partouze / Groupe fsodo, hsodo, init, initiat, Auteur: JeffTrois, Source: Revebebe

    ... minutes. Si vous désirez une boisson en cabine, je peux vous l’apporter. Autrement, dans la voiture suivante, vous disposez d’un bar fumoir qui est déjà ouvert. Le restaurant commencera le service à partir de 19 h 45. Le train étant complet, je vous suggère de réserver dès maintenant votre place. Ici, vous disposez d’une sonnette pour me joindre à toute heure du jour ou de la nuit.
    — Merci… dis-je, nous dînerons à 21 heures…
    — Très bien, monsieur, c’est noté. En attendant, si vous souhaitez autre chose ?
    — Non, c’est bien…
    — Alors je vous souhaite un agréable voyage.
    
    Et le steward referme la porte de la cabine, nous laissant seuls, face à face… enfin, pas longtemps, car Mathilde vient coller sa bouche à la mienne et m’applique un baiser qui me met le feu dans les reins…
    
    — Tu es à la fois une bonne fée et le diable tentateur. J’ai toujours rêvé de voyager à bord de ce train et jamais je ne pensais pouvoir accomplir ce fantasme. Et là, voilà que j’y suis…
    
    Mathilde me murmure ses mots tout en les ponctuant de petits et rapides petits baisers sur les lèvres, puis descend sur le cou, ôte mon veston et déboutonne ma chemise pour atteindre ma poitrine, y perd ses lèvres dans les poils et trouve le bout de mon téton. En se taisant, elle l’aspire entre ses lèvres douces, puis va le mordiller avec ses petites dents. Pincé, aspiré, tordu, un peu maltraité, mon sein réagit et m’envoie de grandes ondes d’excitations puis de désir dans le ventre et mon sexe. Mathilde ...
    ... s’évertue à me picorer la poitrine, alternant le téton droit puis le gauche pendant que sa main frotte mon pénis qui devient dur comme du bois, à travers l’étoffe de mon pantalon.
    
    — Attends que je ferme à clef et que je tire les rideaux… lui dis-je soudain.
    — Pfff ! T’es pudique toi, là… d’un coup…
    — Heu… Non… Enfin… Oui, on est dans une gare, ici…
    
    En un tour de main, Mathilde tire le store tandis que je ferme à clef, puis comme une diablesse, elle revient vers moi et dézippe mon pantalon, tombe à genoux devant moi et sans attendre, m’embouche. Une main sur la hampe, l’autre sur les fesses, elle entame une succion infernale alternant surface et profondeur alors que son pouce s’introduit entre mes fesses et qu’elle me sodomise et pompe mes fesses.
    
    Je n’ai d’autre possibilité que d’attraper sa tête par les côtés et tenter de suivre son rythme jusqu’à ce que j’éclate de plaisir au fin fond de sa gorge. Mais la bougresse, une fois mon élixir de vie avalé, elle continue à me sucer pour éviter que je ne me ramollisse. Quand elle me rend ma « liberté », je suis propre, mais dur et ne désire qu’une chose, la prendre, là, tel un sauvageon. Cette « mise en bouche » l’a aussi excitée et avec précipitation elle me dit :
    
    — Viens, prends-moi… là où tu veux, partout si tu veux…
    
    Mathilde soulève sa jupe et je découvre, heureux, mais étonné, qu’elle ne porte aucune culotte alors qu’elle me tourne le dos…
    
    — Mais tu n’as pas de culotte ? Depuis quand ?
    — Ben, ce matin, après avoir ...
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