1. Ciseaux du soir


    Datte: 06/08/2022, Catégories: ff, ffh, hplusag, fplusag, jeunes, couplus, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Masturbation caresses, intermast, lesbos, Auteur: ElodieParis, Source: Revebebe

    ... nudité face au couple. Elle se sentait toujours gênée, mais différemment, un sentiment de légèreté difficile à expliquer. Olga la tira de ses songes.
    
    — Alors, bébé, tu la retires cette chemise ?
    
    Elodie s’exécuta, sous le regard brûlant du couple. Ses tétons s’électrifièrent. Elle se sentit gauche et fragile. Elle ne prêta pas attention à la mouille qui coulait le long de ses jambes et son écartement, entre ses cuisses, trop prononcé, qui étaient deux choses qui pourtant la complexaient beaucoup. Ce couple l’acceptait comme elle était et avait au contraire sublimé ses défauts.
    
    — Déshabille MON Philippe.
    
    Elodie resta sur place, comme pour manifester son opposition à faire quelque chose que pourtant elle désirait au fond d’elle. Telle était la nature d’Elodie: prêcher le faux pour le vrai, faire sa sainte nitouche.
    
    — Tu as bien entendu Elodie, déshabille MON mari !
    
    Il n’était plus question de ne pas le faire et elle obtempéra en dissimulant son bonheur d’avoir à s’occuper de cet homme qu’elle désirait.
    
    C’est les doigts tremblants qu’Elodie s’avança nue vers lui. Elle le contourna pour retirer sa veste et ne plus être sous le feu de son regard qui la troublait. Trouvant que se cacher derrière lui était une position confortable, elle décida bêtement de lui retirer sa chemise aussi depuis son dos. Les petits doigts de l’étudiante partirent à la recherche des boutons et, dans cette quête, ses tétons effleuraient le dos de Philippe. Un frisson la parcourut, ...
    ... d’autant plus que, si proche de lui, son parfum « bleu de Chanel » était dans ses narines. Elle aurait tant voulu poser ses lèvres sur son cou, le toucher, le caresser, le serrer dans ses bras… Ses doigts défirent les boutons un à un, du torse au bas-ventre. Ce doux contact était une petite torture.
    
    Dans la même position, Elodie défit la boucle de la ceinture et dézippa la fermeture éclair. La dextérité et la rapidité de son geste étaient loin de ceux d’une étudiante inexpérimentée. Ce n’était pas le premier pantalon d’homme qu’elle ôtait. Sous le poids de la ceinture, il tomba au sol, dévoilant un très beau caleçon. Elodie adorait la classe de Philippe, son choix de vêtement comme son mode de vie avec son épouse. Elle fit tomber le caleçon au sol sans toucher la verge de Philippe, qui était en érection. Elle se retint difficilement. Olga la soumettait à une si forte tentation.
    
    — Va lui chercher sa robe de chambre.
    
    Elodie le revêtit avec et Philippe s’installa sur son fauteuil de candauliste attitré.
    
    — Et maintenant, déshabille-moi !
    
    Elodie fit facilement tomber la robe si décolletée et dos nu que portait Olga pour ce dîner. Avec cette robe et comme à son habitude, Olga n’avait pas de soutien-gorge. Ses tétons durs trahissaient son excitation. Le regard qu’elle adressait à Elodie traduisait sans ambiguïté son désir pour la jeune fille. Olga avait encore son string.
    
    — Je t’ai demandé de me mettre nue !
    
    Elodie fit descendre le mini-string que portait la belle ...
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