1. Ciseaux du soir


    Datte: 06/08/2022, Catégories: ff, ffh, hplusag, fplusag, jeunes, couplus, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Masturbation caresses, intermast, lesbos, Auteur: ElodieParis, Source: Revebebe

    ... touchaient, se frottaient, se caressaient. Comme elle l’avait annoncé, c’était comme si Olga baisait Elodie.
    
    Quand elles étaient allongées, leurs clitos étaient en feu. Quand elles passaient à la position assise, Olga en profitait pour embrasser et caresser son amante. Olga ne laissait à la blondinette aucun instant de répit, elle était véritablement en feu et insatiable.
    
    Ce que ressentaient les deux femmes était l’intensité des sensations et la quête d’un plaisir brûlant.
    
    En variant les positions, Olga voulait faire durer autant que possible cette façon d’aimer et de posséder Elodie. Leurs frictions jouissives, leurs va-et-vient plus ou moins contrôlés, leurs gémissements, leur plaisir, emplissaient la chambre. Les traits de leur visage exprimaient la force de ce qu’elles ressentaient. Ce plaisir était si violent, si inouï, qu’il était en même temps presque une souffrance.
    
    — Ça te plaît, ma petite salope ?
    
    Elodie était ailleurs, elle ne pouvait plus parler, concentrant tous ses efforts pour retarder l’échéance, pour prolonger encore un instant ce moment merveilleux.
    
    — Je t’avais promis que je te baiserais. Je sais que tu aimerais que ce soit mon homme qui le fasse. Mais pour le moment, tu es à moi !
    
    Philippe, silencieux et admiratif, ne perdait pas une miette de ces instants érotiques torrides. Olga était déchaînée, à croire qu’elle voulait qu’elle et son amante meurent de plaisir.
    
    Oui, Philippe avait envie de faire l’amour à Elodie. Mais pour le ...
    ... moment, c’est Olga qui menait cette incroyable séance des ciseaux, qui ressemblait tant à un coït.
    
    Olga accéléra encore le rythme, leurs clitos étaient en feu, presque douloureux, malgré l’abondance de leur lubrification, en particulier celle d’Elodie.
    
    L’une, comme l’autre, ne pouvait pourtant tenir indéfiniment. Olga donna le signal de la délivrance. Les deux femmes eurent un orgasme fulgurant et pratiquement en même temps, une vague qui les submergea, un tsunami de plaisir.
    
    Philippe savait que la force et la longueur de leurs cris, surtout à cette heure tardive, ne manqueraient pas de provoquer des récriminations de la part des voisins !
    
    Comme à son habitude, la jouissance d’Elodie s’accompagna d’une puissante éjaculation féminine. Elle poussait de petits gémissements, qui montaient ensuite en puissance. De son côté, l’orgasme d’Olga était comme le feulement d’une louve, une longue plainte.
    
    Les deux femmes avaient connu un plaisir d’un niveau exceptionnel. Elles restèrent un instant dans les bras l’une de l’autre, brisées, heureuses, comblées.
    
    Philippe, pourtant habitué à vivre des moments torrides avec Olga, était impressionné par ce dont il avait été le témoin privilégié. Ce qu’il avait vu était si fort, l’équivalent d’un coït entre un couple. Comme elle l’avait annoncé, Olga avait en effet baisé Elodie.
    
    Quand les deux femmes furent enfin apaisées, Philippe s’approcha du lit. Olga lui tendit ses lèvres, pour un long baiser amoureux. Philippe prit ensuite ...
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