1. Back Abdict


    Datte: 22/08/2018, Catégories: fh, campagne, cérébral, Oral fsodo, init, Auteur: Sombres Pratiques, Source: Revebebe

    ... soigneusement, mais fermement. Elle crie un peu, s’agite beaucoup, j’ai beaucoup de difficultés à rester concentré sur son clitoris que je taquine et que j’agace férocement. Le ciel au-dessus de nous, je le vois comme un grand vide qui m’aspire irrémédiablement, un gouffre infini. L’herbe, sous mon coude, mon dos, mes jambes, m’agace, me titille. Et ce cul qui n’en finit pas de plonger sur moi, de serrer ma barre brutalisée, ces fesses qui m’absorbent, ce clitoris inassouvi, cette femme qui m’épuise, me tourmente mais qui me fait tant jouir ! Pourquoi ça tarde tant ? Je veux jouir en elle, lâcher mon sperme dans ses entrailles, qu’il se mélange avec ses déjections, qu’elle le garde en elle, qu’elle en soit remplie, débordante, rassasiée, comblée !
    
    Une dernière lueur, un dernier éblouissement, je sens une onde puissante qui me ravage, mon cœur qui semble exploser. Je l’entends venir en même temps que moi, ses cris m’excitent plus encore. Un geyser chaud lance ses jets brûlants au fin fond de ses entrailles ténébreuses. Je sombre, repu, vidé.
    
    Elle est toujours sur moi, affalée, pesant de tout son poids, toujours rivée en moi, mon sexe amolli dans son fondement. C’est affolant, cette jouissance. Angoissant mais impressionnant de volupté. Je me repose, reprenant doucement mes esprits. Elle aussi, elle est comme ravagée, secouée de spasmes. Elle roule sur le côté, sans égard pour mon sexe toujours en elle. Brutalement, il s’étire d’un coup m’arrachant un cri de surprise ...
    ... puis, tel un bouchon, s’extirpe de son enclos dans un son peu correct.
    
    — Oh pardon ! dit-elle.
    — Ouââ ! Tu peux ! Argh, ça fait mal, mine de rien !
    — Excuse-moi ! Tu as très mal ?
    — Plutôt oui ! dis-je en râlant
    — Excuse-moi !
    
    Je serre les dents, une vague idée dans le crâne devant son air confus :
    
    — Pour te faire pardonner : suce-moi !
    — Comme ça ?
    — Oui, comme ça !
    
    Elle me regarde intensément, hésite un peu. Elle sait que je profite de la situation, elle voit bien à mon air que je ne suis pas si fâché que ça, que c’est plutôt ludique. Mon sexe commence déjà à se redresser un peu, tout rouge, couvert d’un liquide indéfinissable, zébré de striures blanchâtres de sperme. Elle saisit ma tige poisseuse entre ses doigts fins, le masturbe un peu, le décalotte complètement. Un dernier regard vers moi, qui me trouble profondément, elle enfourne ce sexe sale dans sa bouche et le suce lentement…
    
    Je ne saurais décrire le plaisir de cette fellation, quelque chose de très puissant, très fort, d’incommensurable, le franchissement d’un autre palier, d’une nouvelle étape comme si mon horizon portait plus loin, beaucoup loin, encore plus loin. Tandis qu’elle me léchait, je sentais un bien-être diffus m’envahir totalement, une satisfaction un peu honteuse mais tellement bonne !
    
    Je suis, là, assis sur une chaise, jambes écartées, une moue dubitative aux lèvres. Je me pose à présent diverses questions sur mes folies nocturnes et de plus en plus diurnes. Pourtant, je devrais ...
«12...5678»