1. Back Abdict


    Datte: 22/08/2018, Catégories: fh, campagne, cérébral, Oral fsodo, init, Auteur: Sombres Pratiques, Source: Revebebe

    ... moins qu’elle n’ait de bonnes dispositions à cet endroit de son envers…
    
    Le goût est légèrement âcre, un peu défendu, très émoustillant. Les stries s’évasent petit à petit, se colorent délicatement de sombre. Ma salive rend luisant ce lieu tabou, le faisant finement briller. C’est indescriptible, cet émoi qui m’assaille, moi agenouillé devant cet envers offert, mon enfer pervers.
    
    Je lèche avec application, mouillant bien l’entrée dans laquelle j’irai enfin me perdre. Je me régale de ce creux censuré par tant de gens, décrit comme une abomination, mon paradis à moi, ma quête. Je me sens comme l’adolescent que j’étais, il y a longtemps, le jour de son premier baiser profond, la nuit de la première fille qui m’offrit ses trésors cachés, le ravissement de cet antre chaud, si accueillant dans lequel on adore plonger et se perdre.
    
    L’entrée s’évase doucement mais sûrement, ça m’intrigue quand même : je ne pensais pas qu’il en serait ainsi, j’ai encore des choses à apprendre sur les femmes. Souvent, on parle de conduit étroit à forcer, de repaire à contraindre, de cette attaque impitoyable qui fait de la lance ou de l’épée des hommes des sauvages conquérants.
    
    Je dois être trop lyrique…
    
    Je comprends qu’il est temps d’y aller. Je suis un peu déçu. J’aurais aimé initier une femme à ce plaisir tabou, lui faire découvrir ces agréments insolites, moi, son bourreau et professeur, elle, ma tendre victime, mon élève soumise et assidue. Je me rattraperai une autre fois, ...
    ... peut-être. J’ai au moins la garantie qu’il ne devrait pas y avoir de problème puisque ma soi-disant victime pratique déjà.
    
    Agenouillé devant Valérie, mes genoux de part et d’autre de ses fesses, je me positionne au mieux. Ma tige est raide comme de l’airain, je l’approche de l’entrée tant convoitée, enfin, j’y suis, j’y vais, je suis en train d’y aller.
    
    Le contact de la salive sur mon gland me fait frémir d’aise, je me contrôle un maximum, il ne s’agirait pas que je lâche tout maintenant, sans être en elle. Je serre les dents, je retiens mon souffle.
    
    Je comprends que je ne suis pas tout à fait bien positionné, je me replace mieux, ses cuisses chaudes contres les miennes. Elle attend, les yeux fermés, je la vois qui palpite, mon cœur s’accélère. Fébrile, je guide mon pieu de chair entre mes doigts vers ce puits sombre qui veut l’engloutir. L’arrondi de mon gland épouse la cuvette mouillée de son entrée, elle remue faiblement son bassin, la salive décuple les sensations, je ne tiendrai jamais !
    
    Je donne un coup de reins, l’entrée résiste, mais pas moi. Je suis à deux doigts d’éjaculer sur elle. Je me crispe, tentant de reprendre un semblant de contrôle sur moi. J’y arrive.
    
    Un autre coup de reins et j’entre. La sensation est inouïe, mon gland s’engouffre dans un conduit étroit et chaud, ce tunnel interdit qui l’avale tout en l’enrobant de sa chair torride. Je reste là, planté au bord, goûtant ce plaisir enfin obtenu, comme l’alpiniste qui découvre enfin le sommet convoité ...
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