Back Abdict
Datte: 22/08/2018,
Catégories:
fh,
campagne,
cérébral,
Oral
fsodo,
init,
Auteur: Sombres Pratiques, Source: Revebebe
... exemplaire… Ça me semble étrange après coup, d’avoir été là-dedans. Sale, mais ô combien jouissif !
Je me nettoie avec précaution, délicatement, avec le papier toilette, ça fait mal quand même. Sur le moment, je n’ai rien ressenti de tel. Je me demande si c’est pareil pour elle… mais je me vois mal lui poser la question !
Je pense que je vais faire un tour dans la salle de bains, me laver, j’ai du savon liquide antibactérien à PH neutre, prévu pour les endroits intimes, souvenir cuisant du jour où je me suis lavé le sexe avec du bain-douche. Le résultat fut un gland en chou-fleur pendant une semaine ! Un mauvais souvenir, qui me valut quelques difficultés à chaque fois que j’allais aux toilettes, un motif de satisfaction pour ma femme qui eut la paix au lit un moment.
La sodomie, c’est comme une drogue, quand on y a goûté, on en redemande !
Maintenant, j’ai beaucoup de difficultés à imaginer un rapport sexuel sans passer par-là. J’ai bien eu une sorte de mini-déprime après avoir vécu mon premier passage à l’acte arrière, mais cela passa vite, très vite. Bien sûr, pas question de le faire avec mon épouse, mais elle, Valérie, ma maîtresse, elle adorait, et ça tombait bien, moi aussi !
Alors il y eut des tas d’autres fois : moi, vautré sur elle ; moi devant entre ses jambes ; moi de côté ; elle assise sur moi ; moi la pistonnant furieusement alors qu’elle était à quatre pattes… Bref des tas de positions pour tenter d’aller plus loin en elle, plus profond, de ...
... l’élargir, de plonger dans le stupre et le sale de son cul rebondi. Un culte du dégoûtant et de la jouissance. Et j’avais à présent une nouvelle quête : A2M comme disent les anglophones, le "Ass to Mouth", traduction pour ceux qui ne pratiquent ni la langue ni cette déviation : le cul à bouche.
Un nouveau Graal… Une nouvelle étape dans ma sexualité.
Suis-je un pervers décadent, un sale dégoûtant, une ordure immonde ? Je me doute bien de ce que certains diraient de moi. Mais je m’en fiche, je ne fais de mal à personne et mes goûts évoluent dans le temps. Une chose me turlupine quand même : et après, ça sera quoi comme lubie ?
Mais demain est un autre jour.
Fin d’après-midi, nous sommes dans la nature, pas loin du petit lotissement où Valérie habite. Une route sur presque un kilomètre, un chemin piétonnier sur dix à quinze minutes, puis derrière un groupe d’arbres, un passage herbeux qui zigzague entre broussailles et bosquets. Il faut connaître, Valérie connaît visiblement bien, je préfère éviter de lui demander pourquoi ! Vraiment sauvage par ici, nous sommes sûrement à deux ou trois kilomètres de chez elle à vol d’oiseau et encore ! Des herbes hautes, des futaies alentour, elle lance un coup d’œil circulaire pour la forme, puis se jette sur moi. Nos étreintes sont passionnelles, entre tendresse sauvage et farouche affection. Je sais qu’elle ne porte pas de culotte sous sa robe légère, une habitude, j’en profite donc. Après quelques baisers féroces, je me glisse dans ...