Sous le soleil (1) - Histoires de Sexe

Sous le soleil (1)

... mes couilles, rebrousse chemin et se balade encore, puis tes lèvres roulent sur toute la longueur de ma queue dans un enivrant va-et-vient.

Je me penche sur toi, embrasse le bout de tes seins, tout en détachant les derniers nœuds de ton maillot sur tes hanches, laissant ton corps allongé complètement nu... Doucement, je goûte ta peau chocolat, depuis ton cou jusqu’au bas de ton ventre, promenant ma bouche sur ton sexe nu et lisse. J’écarte doucement tes cuisses et du bout de la langue, caresse tes lèvres chaudes et déjà humides...

Tu te laisses aller un instant puis te redresses brusquement, me couches sur le sol de bois chaud et, te retournant, viens te coller au-dessus de moi, offrant ton sublime cul et les lèvres à mon regard et à ma gourmandise, puis tu avales à nouveau mon sexe, toujours plus goulûment. Je caresse tes fesses, les agrippe et les embrasse. Sous mes yeux, le joyeux spectacle de tes seins qui se balancent pendus au-dessus de mon ventre et, au-delà, ta bouche allant et venant sur mon membre dégoulinant de ta salive, encore et encore.

Glissant ta main entre tes cuisses, tu écartes de deux doigts tes lèvres pour m’inviter à plonger encore ma langue entre elles... Je cède volontiers à ce caprice et colle mon visage entre tes fesses. Je te ...

... dévore et me délecte de ton nectar, sans m’arrêter.

Puis abandonnant ces voluptés, tu redresses le dos, tu me fais face en t’agenouillant sur moi et, saisissant fermement mon sexe entre tes doigts, tu le caresses et t’enfonces profondément sur lui...

Un vent chaud caresse nos peaux humides. Au-dessus de toi, rien que le ciel, bleu et éblouissant, alors que je regarde, hypnotisé, tes seins qui dansent, tes lèvres entrouvertes, tes paupières mi-closes, l’espace entre nous s’ouvrir et se fermer inlassablement, laissant réapparaître mon sexe toujours plus humide et enduit de ton plaisir. Des gouttes de sueur perlent sur ta peau, ruisselant jusque sur mon ventre...

Et toujours, le bruit des vagues qui vont et viennent, comme toi, tes mains posées sur mon torse, presque plongées dans mon cœur, que je sens battre toujours plus fort, accompagnant chacun de tes coups de reins. Ton souffle se fait plus court, tes gestes saccadés, et enfin ne pouvant plus contenir mon excitation, je jouis et me déverse en toi et te regarde jouir en même temps. Tu t’effondres sur moi en laissant échapper râle de plaisir. Je te serre fort dans mes bras et te sens trembler contre moi alors que nos lèvres se retrouvent en un long baiser. Et à nouveau, le silence paisible d’un moment de délice...