1. Ma collègue de bureau… et son neveu (11)


    Datte: 03/08/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: K-ro, Source: Xstory

    ... faire mettre en position de tir. Je lui fais poser une main à la place de celle que j’avais sur une des hanches de Martine et je sors mes doigts de son sillon poisseux pour prendre la hampe de Guillaume et pointer son gland contre l’entrée des artistes. Puis je le lâche et le laisse faire. Il pose son autre main sur l’autre hanche et pousse, se retrouvant sans effort au fond du vagin. Je commente :
    
    — Oh, putain, Marraine, comme c’est bon, comme tu es chaude !
    
    Et c’est moi qui continue ce dialogue en pointillés pour donner le change. Elle est persuadée que c’est moi qui m’active en elle et répond toujours entre deux sucettes :
    
    — Oh oui, elle est bonne ta queue, mon filleul !
    
    — Je vais t’exploser la chatte, Marraine !
    
    — Vas-y, bourre-moi à fond !
    
    Je vois qu’elle repart pour un nouvel orgasme, car elle s’occupe de moins en moins de Ber pour se consacrer de plus en plus à ce qu’elle prend par derrière. Et effectivement, elle explose une deuxième fois tandis que Guillaume qui essayait de se retenir n’y arrive plus et éjacule en se collant au maximum aux fesses de sa tante en lâchant :
    
    — Ouiiii, Marraine, je viens. C’est trop bon !
    
    Sur le visage de Martine passe une ombre. Elle a forcément senti les giclées de foutre avec les soubresauts de queue qui l’accompagnent, ce que ce ne fait pas un strapon en général. Et au cas où elle aurait un encore un doute, c’est bien la voix de son neveu qui a guetté à l’instant. Mais elle est ...
    ... tellement démontée par ses deux orgasmes si proches qu’elle reste allongée sur le ventre, oubliant complètement sa fellation en cours. Guillaume se retire pendant qu’elle se laisse descendre sur le ventre. Elle finit par dire faiblement :
    
    — Guillaume ? C’est toi qui...
    
    Je prends le jeune dépucelé par la main et l’emmène s’assoir avec moi à côté de sa tante. Elle nous voit donc maintenant tous autour d’elle et le doute devient une certitude. Pour éviter des mauvais retours, je prends l’initiative du débriefing :
    
    — Alors, tu vois que tu en avais envie. Et lui aussi, d’ailleurs. Alors, pourquoi se priver ?
    
    — Tout de même, vous m’avez bien eue, là. C’est pas bien, c’est mon neveu...
    
    — Mais non, c’est des idées. Personne ne fait de tort ou de mal à personne. Alors, profitez.
    
    Pendant cet échange, elle se retourne et se retrouve de flanc sur une hanche et sur un coude face à nous. Privilège de la jeunesse, son neveu est déjà en train de développer une nouvelle érection juste en face de son visage. Contrairement à ce qu’on aurait pu redouter, elle ne se dérobe pas et garde ses yeux braqués sur le gland qui la nargue. Alors je sais que c’est le moment de faire basculer la situation définitivement. Je prends la bite en main et commence à la parcourir lentement devant elle en lui disant :
    
    — Allez, lâche-toi, occupe-toi de lui à ma place.
    
    — Bah, au point où on en est, je crois que c’est plus la peine de me priver...
    
    A suivre... 
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