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C'est donc cela le naturisme (4)
Datte: 03/08/2022, Catégories: Gay Auteur: Etrenu, Source: Xstory
... tête dans ses fesses, le léchant très longuement… La tête calée entre les fesses… J’adore ! Et j’y plonge avec délectation. Cette rondelle-là est délicieuse. Son petit cul sec et musclé est un régal pour les yeux. Je prends autant mon pied que lui. J’entends un râle sourd dans mon dos. Puis un second. Je suspends ma gourmandise et regarde derrière moi. Le passif sous mon tas de muscle a joui. Le tas de muscles aussi. Très vite le second enculeur les rejoint en me regardant. Décidément, me voir par derrière en train de lécher un cul sonne l’hallali pour tous ces couples. Il est vrai que j’en ai joué, remuant mon petit cul tout en léchant celui de Joël. Je les comprends parfaitement, je suis comme eux, assister à un anulingus me surexcite. Je les laisse à leur retour sur terre et reprends mon léchage en règle. La pause lui a fait le plus grand bien. C’est comme si sa rondelle avait profité de ces quelques secondes pour se détendre. Ma langue entre entièrement dans le conduit. Je n’ai plus qu’à le butiner de l’intérieur, accompagné de ses petits cris tous mignons. Si j’adore faire des anulingus, ce n’est quand même pas une fin en soi. La langue de plus en plus rêche, je commence à me lasser. Je maintiens mon jeu lingual encore un instant avant de me décider à rendre mes lèvres orphelines de son anus ouvert. Je me redresse. Il comprend et me hurle un « Vas-y ! Prends-moi ! ». Puisqu’il le veut, qu’il en soit ainsi… Je tapote ma queue contre sa raie pour s’assurer ...
... qu’elle est bien dure. Je sais bien qu’elle est totalement bandée. Mais j’aime bien faire cela. C’est comme un rite qui dit « ces fesses m’appartiennent maintenant, tu es à moi ». Je sais que c’est nul comme pensée. Mais c’est ainsi. Entre deux il s’est remis à envoyer quelques coups de queue dans le cul de son petit ami. Je dois le retenir pour poser mon gland contre sa rondelle. Instantanément il recule et s’empale sur mon gland qui est irrésistiblement attiré dans son conduit. Je m’enfonce sans grande résistance bien que son conduit soit jouissivement étroit. Il est parfaitement lubrifié. Je peux donc entamer mes premiers va et vient. Toujours très lents, très progressifs ; je suis un actif attentif ! C’est lui qui casse mon rythme en libérant une salve enculatoire dans son ami. Ce faisant, mon sexe entre et sort aléatoirement d’entre ses fesses. Il grogne. Je comprends que c’est assez douloureux pour lui. Mais c’est lui qui le provoque. C‘est lui qui aime cela. Je sais bien que la magie de la sodomie tient dans le lien indéfectible entre plaisir et douleur. Tout est une question de mesure. Pour la douleur. Jamais pour le plaisir. Et puis la magie de la sodomie passe aussi dans la transformation de la souffrance due au frottement et à l’écartement, en douce chaleur qui vient irradier le conduit rectal d’abord, tout le corps ensuite. C’est ce qui se produit assez vite avec Joël. Les râles de souffrance sourde deviennent des râles sourds de plaisir. Par mimétisme ...