1. Avec ma chef, une relation fusionnelle


    Datte: 02/08/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Boogaloo, Source: Hds

    ... doigts, plus je me sentais excité, sauvage, bestial, sur le point de posséder cette femme, 20 ans plus âgée que moi, à qui j'obéissais chaque jour.
    
    Ses jambes étaient totalement écartées, et repliées autour de mes hanches.
    
    Mon gland se présenta naturellement au bord de son sexe chaud. Je sentis sa langue arrêter de tourner autour de la mienne, Sandra se figea, serra davantage la prise de ses mains sur ma nuque, comme pour s'accrocher à moi, pour ne pas tomber dans un gouffre invisible...
    
    Ma bite s'enfonça doucement, je sentais la chaleur douce de son intimité m'envahir, je fis un premier va et vient, elle fit un premier gémissement qui résonna dans notre baiser.
    
    J'étais tellement excité, frissonnant de plaisir, que je savais que je ne tiendrais pas longtemps.
    
    Délicatement, je m'enfonçai en elle et ressortai, pour lui arracher à chaque coup un gémissement plus fort.
    
    Ma main sur le bas de ses fesses me permettait de la presser contre moi et m'assurer que je m'enfonçais profondément.
    
    Ses doigts, ses ongles s'enfonçaient eux dans ...
    ... mes cheveux et j'en mesurais le plaisir que je lui donnais.
    
    Je sentis mon foutre monter rapidement, irrésistiblement, incontrôlable. Je m'excuserais plus tard de n'avoir pas pu contenir mon plaisir pour la faire jouir. Je m'excuserais de ma maladresse en lui disant que je ferais tout ce qu'elle me demandera pour me rattraper. Je ne savais pas encore ce que cela allait impliquer, j'ignorais encore l'emprise qu'elle allait exercer sur moi, je voulais simplement me déverser en elle.
    
    Je la serrai contre moi, ma bite se gonfla, je tentai de me retenir le plus longtemps possible, et j'explosai.
    
    Je me sentis me vider littéralement, la remplir encore et encore.
    
    On resta un moment l'un dans l'autre pendant que je débandais petit à petit.
    
    Finalement nos lèvres se décollèrent, très légèrement, et ses yeux plongés dans les miens, elle me souffla "Merci Arthur, tu me fais me sentir tellement bien..."
    
    Et elle m'embrassa encore, délicatement, un baiser remplit de douceur et d'amour. Sans m'en rendre compte, je lui appartenais maintenant totalement. 
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