1. Nymphomane, moi ? Tome III (3)


    Datte: 02/08/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... blancs de Victor frottèrent mon entrejambe et que son sexe remplit bien à fond mon vagin, je remuai lascivement mon bassin d’avant en arrière ou en rotation autour de l’énorme pieu.
    
    Alfred lui, accroupi devant la table, ne rata rien des pénétrations. Puis il se leva, passa à coté de moi, me caressa les seins et se mit à m’embrasser comme un fou.
    
    — Maintenant, tourne toi et mets toi à genoux, Victor enfoncez bien votre bite dans la chatte de Trixie.
    
    Ouvrant une seconde bouteille de champagne, qui trempait dans un seau de glace, il me fit pencher sur le torse de Victor et fit couler le liquide glacé entre mes fesses. Je poussai un cri de surprise et le froid me couvrit de chair de poule. Alfred se mit à plat ventre sur la table et sa langue s’insinua dans mon orifice anal. Il lécha le breuvage répandu. Puis deux et enfin trois doigts remplacèrent la douce caresse de son appendice buccal.
    
    Victor récupéra la bouteille, et me fit boire de petites gorgées glacées. Je ne sus pas si c’était l’alcool qui commençait à me faire de l’effet, mais il me sembla être dans un rêve. La sensation de bien-être fut décuplée par la chaleur qui montait de mes entrailles... Victor accéléra la cadence de ses pénétrations. De violents spasmes contractèrent ses bourses, il me sembla que sa queue devenait encore plus grosse. Il me plaqua sur la base de sa bite, m’empêcha de bouger, comme s’il ne voulait pas qu’une goutte de sa semence puisse gicler au-dehors.
    
    — Je t’avais bien dit, que ...
    ... je te le ferai payer, salope... Putain, c’est bon d’éjaculer dans ta chatte !
    
    — Bon le repas n’est pas terminé, sans que l’on félicite le cuisinier et son marmiton. Ils vont d’ailleurs amener quelques friandises... Trixie reste allongée sur la table... !
    
    Dit le maître de maison. Simplement vêtue de mon porte-jarretelles, mes bas et de mes talons aiguilles, j’obtempérai à la demande d’Alfred. Victor en profita pour remettre en place ma lingerie autour de mes hanches et de rattacher une fermeture de jarretière. Je sentis le sperme couler entre mes jambes et faire une petite tâche sur la table. Les deux hommes nus comme des vers, les bites en berne maintenant, prirent place chacun à un bout de table. Alfred fit tinter une sonnette.
    
    — J’ai moi aussi préparé une surprise. Comme je sais que tu aimes les phallus noirs biens gros et durs...
    
    La porte s’ouvrit et deux noirs, nus sous un tablier blanc de cuisinier faisant ressortir la couleur anthracite de leur peau, entrèrent. Les vêtements avaient été découpés sur le devant, et ils portaient leurs bites passant au travers, sur un plat de faïence blanche. On aurait dit deux gros boudins noirs, d’environ 25 ou 30 cm de long, d’un diamètre vraiment conséquent. Ils passèrent de chaque côté de la table et déposèrent les plats et leur contenu à hauteur de ma tête. Je les examinai à tour de rôle. Les phallus étaient légèrement plus gros et plus longs que celui de Victor, noirs de surcroît... J’avais parlé à Alfred de ma passion ...
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