L'amie de Maman (13)
Datte: 31/07/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: CdM38, Source: Xstory
... trembler.
— Ne refoule pas tes envies Marie, laisse-les s’exprimer.
— Non ! C’est... C’est dégradant, dégoûtant...
— Dégradant ! Mais regarde comme ta fille est épanouie et belle dans sa jouissance ! Emeline, qu’en dis-tu ?
— Maman... Je n’ai jamais été aussi heureuse que depuis que j’ai rencontré Florence... Nous nous aimons et cet amour me comble de bonheur...
Prenant Marie par surprise, Florence écrasa sa bouche sur celle de Marie et l’embrassa de force. Marie écarquilla les yeux et voulut rompre le contact, mais Florence la maintenait entre ses mains. Enfin elle la libéra et c’est avec un air triomphant qu’elle contempla la pauvre femme qui ne savait plus du tout où elle en était.
— Florence je...
— Laisse-moi te guider Marie. Tout comme j’ai guidé ta fille. Laisse-moi te faire découvrir le véritable plaisir. Car réponds-moi honnêtement, ton mari t’a-t-il déjà fait jouir comme j’ai fait jouir ta fille ?
— Je... Non... avoua tristement Marie.
— Alors, abandonne-toi à moi.
— S’il te plaît... Ne fais pas ça...
Marie protestait, mais bien plus faiblement. Elle ne pouvait le nier, le spectacle de sa fille et de Florence l’avait tourneboulée et elle ne savait plus quoi penser. Toute sa vie, on lui avait répété que l’homosexualité était contre nature, qu’il fallait combattre cela et voilà qu’une de ses amies, non contente de coucher avec sa fille, voulait également coucher avec elle. Elle aurait dû fuir et les abandonner à leurs plaisirs ...
... pervers, mais elle était tétanisée et son entrejambe était en ébullition, une sensation qu’elle n’avait plus ressentie depuis belle lurette, car Florence avait bien deviné. Son mari se contentait simplement de se vider en elle sans la prendre en considération. Aussi, quand Florence l’embrassa à nouveau, plus doucement cette fois, elle ne la repoussa pas et quand sa langue frappa contre ses lèvres, elle les entrouvrit.
Procédant doucement pour ne pas brusquer sa proie, Florence se fit sensualité et douceur, venant caresser de sa langue l’intérieur de la bouche de Marie, glissant sur ses dents, agaçant la langue de Marie qui se mit doucement à remuer, venant timidement chercher celle de Florence.
— Abandonne-toi, susurra la grande femme blonde.
Emeline de son côté était estomaquée, jamais elle n’aurait pensé que sa mère se serait laissée faire par Florence. Apparemment, elle cachait un mal-être profond avec le père d’Emeline. Bien qu’elle n’ait rien de particulier contre son géniteur, elle ne pouvait dire qu’elle l’appréciait plus que cela, l’homme ne lui avait jamais montré plus d’affection que cela et le fait de découvrir le malaise de sa mère renforçait son opinion sur lui. Encore nue, elle s’assit au pied du fauteuil occupé par Marie et regarda Florence, chevauchant sa mère, l’embrasser avec tendresse et douceur.
Florence susurrait des mots qu’Emeline n’entendait pas, mais cela arrachait de petits cris à Marie qui s’abandonnait de plus en plus à son premier baiser ...