1. Un cadre femelle et soumis (1)


    Datte: 29/07/2022, Catégories: Transexuels Auteur: Putina, Source: Xstory

    A 51 ans, j’occupe des fonctions importantes dans une entreprise. Respecté, voire craint, je porte un costume élégant avec une cravate de marques. Je suis le type même de l’homme hétérosexuel, blanc, dominant. On m’imagine des maîtresses parmi mes collaboratrices.
    
    Si toutes elles savaient...
    
    En fait dans ma tête, je suis une femelle soumise qui pense surtout à sucer des queues et à tendre ses fesses pour accueillir dans sa chatte un vrai mâle dominateur.
    
    Quand l’envie se fait trop forte, je contacte Hermione. D’origine arabe, très brune, c’est une vraie dominatrice, elle adore me traiter comme la dernière des salopes.
    
    Je réserve une chambre dans un de ces hôtels discrets, en périphérie, où l’on n’a pas besoin de passer par la réception pour entrer dans la chambre, au rez-de-chaussée, avec la voiture garée devant.
    
    Deux heures avant notre rendez-vous, avec sa voix coupante, elle m’appelle sur le portable :
    
    — Je te veux nue, allongée sur le dos, un bandeau sur les yeux. Tu boiras deux litres d’eau. Interdiction d’aller aux toilettes.
    
    Je commence à boire tout en me dirigeant vers l’hôtel. A l’idée de ce qui va suivre, mes tétons pointent sous ma chemise. J’ai préparé un sac avec une perruque, les produits de maquillage, un bustier, une jupe courte, un soutien-gorge ouvert, un collant résille ouvert, un string, des escarpins. Dans la voiture, je commence à ressentir quelques picotements du côté de la vessie. Arrivée à l’hôtel, je prends possession de la ...
    ... chambre, nue, je me douche, et j’enlève les quelques poils qui repoussent.
    
    Sonnerie du portable :
    
    — Je suis là dans 30 minutes, petite putain, finis de boire.
    
    Je m’exécute, les deux bouteilles d’Évian sont maintenant vides. Ma vessie se rappelle à moi et je commence à me tortiller. A nouveau, le téléphone :
    
    — En position, salope, sur une serviette.
    
    J’étale une serviette de bain, je m’allonge, je mets le bandeau sur les yeux. J’ai laissé la porte en position à peine ouverte pour qu’Hermione puisse entrer.
    
    La porte s’ouvre et je sens son parfum. Allongée, sans voir, j’entends le bruit de ses pas. Elle doit être en bottes. Elle ne dit rien, s’affaire... ma vessie commence à me torturer. Soudain, j’entends ses pas contre moi, elle a mis une jambe de chaque côté de mes épaules. Puis mes tétons réagissent à des caresses lentes qui se transforment en griffes puis en pinces de plus en plus fortes. Je gémis, malgré moi, je remue ma croupe, comme si les tétons étaient reliés à ma chatte... D’un seul coup, mon visage est inondé : ma maîtresse pisse sur moi, elle me pince le nez pour que j’ouvre la bouche...
    
    — Je prends possession de toi, dit-elle simplement.
    
    La cataracte s’arrête.
    
    — Enlève ton bandeau, va te doucher, et surtout retiens-toi.
    
    La douche devrait être plaisir, cette eau qui coule est une vraie torture avec toute l’eau qui est en moi et voudrait elle aussi s’écouler.
    
    Je retourne dans la chambre, Hermione est assise sur une chaise, élégamment vêtue ...
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