1. Série l’adultère « Élodie » (Partie 29) : Je suis bien une salope maintenant je le sais. Partie 2/3


    Datte: 27/07/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... je m’étais allongée à plat ventre sur le bureau en lui présentant mes fesses. Le pauvre cinquantenaire devait se demander ce qu’il lui arrivait, cela ne l’avait pas empêché de bien me baiser, j’avais joui en même temps qu’il remplissait sa capote. Depuis toutes les semaines, je lui faisais ce petit cadeau.
    
    Ce qui me permit deux ans plus tard, à la fin de mon apprentissage, d’être très appréciée par le gérant, qui décida son épouse de m’embaucher en CDI. Au départ, tout en continuant à lui offrir ma bouche ou mon sexe, je mettais en rayon et étais employée à des diverses tâches. Afin d’amadouer sa femme, je n’hésitais pas à répéter à ma patronne tout ce que je voyais dans le magasin. Quelques mois plus tard, à la suite de l’absence d’une employée, après un essai fructueux je devins hôtesse de caisse. Depuis lors, nous avions été contraints de stopper notre relation sexuelle d’autant plus que Mme G avait trouvé une capote usagée dans les WC privés. Elle ne savait pas avec qui il l’avait utilisée mais elle le surveillait de près. Ce fut à ce poste en septembre 2005 que je fis la connaissance d’Anthony F.
    
    Résidant dans la commune dans le grand lotissement sur le plateau, à la sortie de la ville, je n’avais jamais fait attention à ce beau garçon. Ce jour-là, lorsque je l’ai vu, mon cœur s’était mis à battre la chamaille et lorsqu’il me parla, je n’osais même pas lui répondre, j’avais littéralement craqué pour ce garçon qui me dit avant de partir : « Vous êtes très ...
    ... séduisante Mlle. Que faites-vous ce soir ? Ça vous dirait un petit cinéma ? » Je n’étais pourtant pas farouche mais je n’avais pu m’empêcher de répondre avec une voix chevrotante : « …Ouais ! À quelle heure ? » Une cliente impatience avait déposé ses courses, il me tendit un post-it ou figurait son N° de téléphone, en disant : Moi c’est Anthony, appelle-moi dès que tu es prête.
    
    J’avais pensé à lui toute l’après-midi, je l’avais appelé à la pause et il accepta de venir me chercher à la fin de mon service. Il l’avait emmené dans son studio chez sa mère où nous avions mangé une pizza qu’il s’était faite livrer mais nous n’étions pas allés au cinéma. Nous nous étions retrouvés sur le canapé de son salon où tout en me déshabillant, il fit la découverte de mon corps. Avec ses mains douces et sa langue chaude, il me procura plusieurs orgasmes de suite, il était d’une tendresse que je n’avais pas encore connue. Avec lui tout était simple, contrairement aux autres types avec lesquels j’avais baisés, il ne me demanda pas de lui faire une fellation, il m’avait seulement prise en missionnaire mais c’était si bon que je jouis une autre fois, juste avant qu’il prenne plaisir à son tour. Nous avions fini la nuit dans sa chambre où nous avions refait l’amour passionnément.
    
    Le temps passait très vite, nous aimions nous retrouver ensemble et notre relation devint sérieuse. Néanmoins Anthony étant encore à la FAC et n’ayant pas encore ses examens, il n’avait pas beaucoup d’argent. Sa mère divorcée ...
«1234...»