Série l’adultère « Élodie » (Partie 29) : Je suis bien une salope maintenant je le sais. Partie 2/3
Datte: 27/07/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
Je m’appelle Élodie D, cette histoire est la suite de l’épisode 7 dans Série « Les voisins » du même auteur où j’avais raconté ma prime jeunesse.
Suite à mon avortement, j’entrai en dépression, non seulement on m’obligea à ne pas garder mon enfant mais je venais de perdre mon grand amour de jeunesse. En maladie, j’avais beaucoup perdu de temps et fus dans l’obligation de redoubler. À partir de ce moment, mon comportement se modifia, je séchais les cours, je ne voulais plus rien faire à l’école. Désirant me faire remarquer et appréciant le regard des hommes sur moi, je me maquillais beaucoup plus pour me vieillir et je sortais en aguichant les nombreux garçons que je rencontrais. Il faut dire que physiquement tous les lycéens et les gars du village, couraient après moi mais pas que. Même si je ne couchais pas avec tous mes prétendants, j’avais une sérieuse réputation.
Mon père n’avait jamais accepté mon comportement, si sa petite Élodie était sa princesse depuis ma naissance, après cet épisode qui avait terni l’image de la famille et de son entreprise, il m’en voulait beaucoup, ne me cédait plus rien. Il ne comprenait pas que je veuille arrêter mes études. Il s’était alors beaucoup plus rapproché de ma sœur et de son mari. Malgré cela, ma mère Sylvie désirait m’aider, elle savait que sa fille se sentait mal et vivait des moments difficiles. Étant très estimée dans cette ville, elle m’avait trouvé un emploi d’apprentie au supermarché de notre commune. Si le travail me ...
... convenait, je sortais toujours autant les soirs et les week-end.
Si Mme G la femme du gérant ne m’appréciait pas beaucoup, j’avais vite compris que son mari n’avait d’yeux que pour moi. Pendant un an, il ne me quittait pas, hormis quelques tout petits attouchements discrets afin de m’aider soi-disant à monter ou à descendre d’un escabeau, il n’avait pas tenté de me faire des avances. Cependant, j’aimais sa présence ses regards en coins lorsqu’il matait mon décolleté ou sa ma robe dans l’escalier. Jusqu’au jour où je le mis dans une situation où il ne put faire autrement que d’accepter mes avances.
Nous étions dans la réserve, ayant un certain embonpoint, il me fit monter sur une caisse afin d’attraper un carton. Il me tenait par les hanches, j’avais les fesses sous son nez, le contact de ses mains fermes sur mon corps et la situation, m’excitèrent aussitôt. Je me laissai tomber, il me rattrapa et je me retrouvai dans ses bras, mon visage à quelques centimètres du sien :
— Merci Mr G. Lui dis-je en lui déposant une bise sur ses lèvres.
Son réflexe fut de regarder tout autour de lui pour s’assurer que sa femme ou un des employés ne nous voient pas, il m’attrapa et m’embrassa. Nos langues tournoyèrent un moment puis il m’attira dans son bureau. Il tira les rideaux et ferma à clé avant de me reprendre dans ses bras. Je n’avais pas eu à faire une longue fellation, il bandait déjà bien fort. Je sortis un préservatif de ma poche et lui tendit puis je baissai ma culotte et ...