1. Isabelle cache bien son jeu


    Datte: 26/07/2022, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation jouet, Auteur: DeBernis59, Source: Revebebe

    ... m’a fait du bien de vous voir. Tu étais très en beauté d’ailleurs. Encore plus que d’habitude !
    — Merci. En fait, je sortais de ma douche et je n’ai eu le temps que d’enfiler un pull. Mais c’est peut-être ça qui t’a plu, non ?
    
    Me serais-je trompé sur la prude Isabelle ou était-ce l’effet du confinement ? Je n’allais pas laisser passer pareille occasion.
    
    — Oui, j’ai cru deviner tes seins nus sous le pull en effet. Tu as eu le temps de te rhabiller depuis, j’imagine ?
    — Le temps, oui, mais pas l’envie. J’aime bien traîner nue chez moi. Et puis personne n’est là pour mater après tout.
    — Certes. Et c’est dommage. Mais tu pourrais rallumer ta webcam.
    
    J’avais mis quelques smileys, histoire ne pas passer pour un pervers et de me réfugier derrière l’humour en cas de rejet cinglant. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises.
    
    — Bien sûr, je peux. Mais promets-moi deux choses : tu n’en parles pas aux autres. Et pas de capture d’écran !
    
    J’étais prêt à promettre n’importe quoi en échange d’une chance de voir ses seins tant convoités.
    
    Appel vidéo entrant.
    
    — Gauthier, tu es là ? Alors, comme ça, mon pull te fait de l’effet ?
    — Oui Isa… Isabelle. J’en bredouille. Et surtout, d’imaginer, si tu ne me mènes pas en bateau, que tu ne portes rien… d’autre ?
    — Patience, mon ami. Raconte-moi d’abord. À quoi as-tu pensé quand tu as compris que j’étais peut-être nue sous mon pull ? Quel effet ça t’a fait ?
    — J’ai pensé à tes seins frottant le tissu. Je dirais que tu fais ...
    ... du 85C ? J’ai imaginé les caresser, les embrasser… comme je le fais souvent.
    — Quel œil, bravo ! Ah bon… et tu te caresses en pensant à moi ?
    — Oui. Souvent, en rentrant de nos soirées, j’imagine que nous finissons la nuit ensemble. Je te déshabille lentement. Et j’imagine te faire l’amour en me masturbant.
    — Ah, intéressant. Et tu… me montrerais ?
    — Je, hein, comment ? Oui, tu me fais bander si tu veux savoir… mais Isabelle, ça me gêne.
    — Tss, tss. Tu veux les voir mes seins ? Il va falloir payer de ta personne. Montre-moi comment je te fais bander ? Elle est déjà dure ta queue ?
    
    Pas d’autre choix qu’obtempérer et de défaire mon pantalon avec un mélange d’embarras et d’excitation pour afficher une érection flatteuse.
    
    — Hum… c’est bien, dit-elle, en soulevant son pull et dévoilant ses seins ronds et fermes. Maintenant je veux te voir t’astiquer doucement. Mais je t’interdis d’éjaculer trop vite. C’est moi qui décide. Et je veux que tu me supplies.
    — Oh Isabelle, ils sont encore plus beaux que j’imaginais et je rêve de les prendre en bouche, de promener ma langue sur tes tétons… mais, dis-moi, c’est bien vrai que tu es nue, sans culotte ? Je peux… voir ?
    — Gourmand. Oui, continue à te branler, plus vite. Je descends un peu ma caméra. Regarde l’effet que tu me fais. Ma chatte est trempée, vilain.
    
    Joignant le geste à la parole, elle s’enfonce deux doigts et les porte à sa bouche.
    
    — Je te confirme. C’est le parfum d’un sexe qui aspire à être pénétré. Mais tu ne ...