1. La jupe (10)


    Datte: 25/07/2022, Catégories: Transexuels Auteur: trolive, Source: Xstory

    ... relative pénombre du sous-bois, et je fis mine de pisser contre un arbre. J’entendis ses pas dans mon dos. Ma petite pine se dressa et au moment où il posa une main sur mes fesses, je bandai.
    
    Mon rythme cardiaque s’affola... j’étais dans un degré d’excitation extrême. Il passa sa main dans mon short et malaxa mon cul. J’osai à peine bouger. Je tendis ma main vers l’arrière jusqu’à toucher sa cuisse nue. Elle remonta le long de sa jambe poilue jusqu’à rencontrer de grosses couilles velues que je soupesai dans ma main. Il me fit me tourner. L’homme devait avoir la cinquantaine légèrement bedonnante. Son short à mi-cuisse, sa queue en semi-bandaison, il me demanda :
    
    — Tu embrasses ?
    
    Je hochai la tête en signe d’acquiescement. Je fus si troublé qu’aucun son ne sortait de ma bouche. Il approcha la sienne et en me plaquant contre le tronc, il me roula une pelle profonde. Sa grosse langue me fouillait, il me bavait presque dans la bouche. Je sentis contre mon ventre son érection monter. C’était une sensation merveilleuse. Lui me malaxait grossièrement le cul des deux mains. Je me cambrai vers lui sous cette caresse qui me rendait folle...
    
    je me mis à penser comme si j’étais une fille
    
    Doucement, je quittai sa bouche pour descendre le long de son torse poilu. Au passage, j’agaçai de mes dents ses tétons qui pointèrent. Ma langue plongea jusqu’au creux de son nombril. Je m’accroupis, sa bite dure comme du bois contre ma poitrine, puis contre mon visage. J’en humai tous ...
    ... les parfums. Il sentait le mâle, ce qui accentua encore mon envie de l’avaler. Je jouai avec mon désir et le sien. Il posa juste une main sur ma tête et se laissa faire.
    
    Je léchai sa hampe, bavant dessus. Sa queue veineuse me sembla grosse. J’embrassai ses grosses couilles lourdes et pleines de jus. Ma main enserra son membre, le sentant palpiter dans ma paume. Je le branlai doucement à quelques centimètres de mon visage. Je le décalottai puis le recalottai, lui soutirant de longs soupirs.
    
    — Hmmmmmm mmmmhhhhh hummmmm...
    
    Et je pris en bouche son gland, ma langue tournant autour, titillant le frein et la couronne.
    
    — Hummmm oui, c’est bon... mmmhmmm fit-il doucement.
    
    J’essayai alors de me l’enfoncer loin dans la gorge... C’était divin de sentir cette puissance mêlée de douceur dans la bouche. Je le suçai, allant et venant. Et lui gémissait :
    
    — Hummm tu suces bien... hummmm... c’est bon...
    
    Je repartis vers ses couilles, les lapant tout en continuant à le branler.
    
    — Tu veux que je te baise ? me demanda-t-il...
    
    Après une hésitation, je répondis négativement d’un mouvement de la tête.
    
    Puis ressortant sa pine, je lui adressai mes premiers mots :
    
    — Tu peux jouir dans ma bouche !
    
    Et je repris ma succion, l’accélérant, et enfonçant son pieu au plus profond de ma gorge.
    
    — Putain, ce que j’aime ça... pensai-je.
    
    Il posa sa deuxième main sur ma tête et accompagna mes mouvements sans jamais les brusquer puis il prévint :
    
    — Je... Je vais venir... ...