Maturations. - Histoires de Sexe

Maturations.

... est ? T’as récupéré ?
— Pourquoi ?
— Eh bé y’a que moi qui travaille.
— Laisse-moi souffler un peu, c’est grave comme je suis excité.
— Moi aussi ça m’excite grave : ça me rend carrément folle. Bon, ça y est ? T’es remis, mon chéri ?
— Oui, mais je te préviens, si je m’y mets, ça va déménager.
— Mais j’attends que ça. Tu sens comme ça glisse bien ?

Je prends un bon appui avec mes pieds, écarte bien ses fesses, et la baise bien fort. Elle n’arrête plus de jurer comme une charretière. Je sais plus si elle jouit ou pas, en tout cas elle n’est pas rassasiée, elle sue, elle est en feu, c’est un démon, limite ça fait peur. Pareil qu’au premier assaut, je suis très très vite en surcharge. Alors je me recule en position assise contre le dossier, je ramène ses pieds contre mes hanches, et soulève son cul avec mes mains. Accroupie sur ma queue, elle peut se sodomiser à fond, ça claque à chaque coup. Elle sue, elle sourit, elle est détendue.

— Ah ouais, comme ça, c’est encore plus profond.
— Regarde-toi, ma chérie.

Elle tourne sa tête, et s’observe dans la glace.

— Ah ouais, c’est trop cochon, comme dans les films. Tu me remplis bien comme ça, j’adore quand t’es tout au fond.
— Penche-toi en arrière. (Elle prend appui sur la table basse). Oh PU-TAIN !

Elle est là, en sueur, détendue, souriante, jambes gainées, pliées, écartées, chatte imberbe, ouverte, qui perle, et ma queue au fond de son cul dilaté qui va-et-vient doucement. Pince-moi je rêve, c’est Buttman à ...

... domicile. La pression monte, je ferme les yeux !

— Qu’est-ce que t’as ?
— Fafa, par pitié, ARRÊTE DE BOUGER !
— Ben quoi ?
— Tu sens pas que je vais partir ?
— Ben si, t’es drôlement excité, dis donc, ça fait du bien !
— Tu te rends absolument pas compte. Depuis que je te connais, je rêve de te voir exactement dans cette position.
— Ben voilà, mon chéri. Je suis là !
— Tu fais pas tout ça pour moi, dis ?
— Un peu, mais ça te fait plaisir, alors ça va, vu que t’attends ça depuis le collège, mon petit cochon adoré !
— ARRÊTE DE BOUGER, J’TE DIS !
— C’est pas grave, tu peux jouir. Mais à une condition !
— Laquelle ?
— T’as intérêt à me faire jouir après ! Bon, t’es prêt ? Je parie que tu pars dans quinze secondes !
— Non tenu : je peux pas tenir. T’es trop bandante comme ça.
— Alors, vas-y, prends ton pied. Remplis-moi, mon chéri. Tu le sais, j’adore te sentir, surtout là. Je veux te voir !

Il lui suffit de deux allers-retours de son derrière pour que j’envoie tout, que je livre tout, sans tabou, sans peur d’en avoir honte. Je tressaute, hurle, en fixant ses yeux, c’est formidable de s’offrir comme ça ! Elle est clairement hyper heureuse de me faire grossir, puis me faire exploser tout au fond d’elle-même, et de me voir jouir. Elle, ne jouit pas, mais prend quand même quelque part un pied monstrueux. Elle se redresse, et vient m’embrasser.

— Tu sais, t’es très très beau quand tu jouis, mon chéri.
— J’ai beau être un nouveau dans le sexe, mais je te promets ...