Justine, Bénédicte, Aude, Pat, Léo, et moi...
Datte: 25/07/2022,
Catégories:
ff,
2couples,
grp,
fbi,
extracon,
extraoffre,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
échange,
totalsexe,
Auteur: Nestor, Source: Revebebe
... l’indiscutable reine de beauté qu’était Justine. Leurs deux mecs ? Encore jeunes, bronzés, apparemment en forme… Banals, en somme…
Après le repas, épuisé par le voyage, les pastis d’accueil, les verres de rosé et quelques verres de rhum, je quittai sans m’attarder la table dressée au bord de la piscine pour aller me coucher, en abandonnant Aude en pleine conversation superficielle avec nos hôtes et leurs amis.
Dans la nuit, la chaleur de l’air me réveilla, et je me mis à imaginer, dans un rêve fou, que l’obsédante Justine entrait, nue, dans ma chambre pour s’offrir à moi. Cette vision onirique réveilla mon sexe et je voulus en faire profiter d’Aude, mais mon bras ne rencontra que des draps vides : elle n’était pas dans le lit. Inquiet, je me levai pour reprendre mes esprits, chercher Aude et me rafraîchir un peu. Sans faire de bruit, je me rendis sur la terrasse, où je fus accueilli par des gémissements et grognements, en provenance des portes-fenêtres ouvertes des chambres de couples, me faisant oublier pendant un instant la disparition d’Aude.
Apparemment, les deux couples honoraient leur contrat conjugal avec un très grand enthousiasme… Je n’arrivais pas à évoquer ma (ma ?) Justine en train de jouir dans les bras de son mari et mon trouble dura jusqu’aux cris, presque synchronisés, des deux femmes, qui annonçaient à leur conjoint qu’il était temps pour eux de songer à prendre leur part, message qu’ils accueillirent en poussant des grognements d’ours. Et le ...
... silence de la nuit revint, sans que, pris dans mes émotions, je songe à regagner ma chambre. J’en étais là de mes élucubrations sur la vie, injuste envers certains, et envers certain surtout, quand Bénédicte, nue, la peau blanchie par la lune, sortit de la chambre conjugale, sortit par l’une des portes-fenêtres, passa la tête par l’ouverture de la chambre d’amis, appela, et Justine, tout aussi nue, la rejoignit.
Elles s’enlacèrent, s’étreignirent, puis s’embrassèrent. J’étais abasourdi par ce spectacle à la fois irréel et terriblement excitant : sous le clair de lune, bien que les deux femmes fussent, toutes les deux, impudiquement nues, je ne voyais que les seins de Justine, le pubis de Justine, les fesses de Justine, qu’elle offrait à ma vue troublée par l’irréel spectacle. Elles s’embrassaient avec ardeur, se caressaient, se dévoraient littéralement… Quand Justine envoya l’une de ses mains vers le pubis de Bénédicte, celle-ci repoussa sa main :
— Vas-y doucement… J’adore tes caresses, mais ton mec n’y est pas allé de main morte ! Il ne m’avait jamais baisée avec autant de vigueur, les autres fois… Il m’a tellement pilonné la chatte et il bandait si dur que j’en ai pour dix jours avant de recommencer !
— Dix jours ? Tu plaisantes… Je te connais trop bien ! Tu veux dire plutôt dix minutes avant d’aller le retrouver au lit ! Mais c’est un peu de ta faute, tu l’as excité grave, hier soir… Tu aurais dû te voir en train de marcher à côté de lui, les nichons à l’air, quand vous ...