Justine, Bénédicte, Aude, Pat, Léo, et moi...
Datte: 25/07/2022,
Catégories:
ff,
2couples,
grp,
fbi,
extracon,
extraoffre,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
échange,
totalsexe,
Auteur: Nestor, Source: Revebebe
Léo, un collègue, m’avait proposé de venir passer faire une halte, avec mon épouse, Aude, dans sa maison de famille, varoise, où il passait l’été avec son épouse, Justine, et un couple d’amis, Pat et Bénédicte. Aude et moi sommes mariés depuis cinq ans et nous formons un « couple uni », et plutôt sage et conformiste dans nos pratiques sexuelles.
Après une journée de voiture dans la canicule et les bouchons, Léo nous accueillit à l’entrée de la maison avec Justine et leurs deux amis. Quand nous descendîmes de voiture, quand, après avoir retiré mes lunettes de soleil, je découvris Justine, je fus violemment secoué par une espèce de décharge électrique, du bout des orteils jusqu’au sommet du crâne. Il faut dire qu’avec ses longs cheveux bruns descendant en cascade dans son dos, sa peau mate, ses beaux seins, probablement libres, qui tendaient son ample t-shirt, ses belles fesses bien fermes que moulait son short, ses jambes fuselées qui, malgré ses tongs, lui donnaient une démarche de ballerine, elle était tout simplement divine…
Je mis un certain temps avant de pouvoir détacher mes yeux de son corps souple, digne de celui d’une gitane de cinéma hollywoodien, et je sentis que la nature avait brutalement, d’un seul coup, construit entre elle et moi un lien qui allait bien au-delà du priapisme qui s’était emparé de mon corps dès qu’elle m’était apparue dans la lumière du soir. Belle trentenaire, excitante, bandante, était des adjectifs bien trop mièvres pour la décrire. ...
... Je ne suis pas tombé amoureux de cette femme, non, j’en suis devenu fou, littéralement fou, à lier, à enfermer ! Brutalement, j’ai perdu tous mes repères, ma vie (mon vit ?) n’indiquait plus qu’un seul cap : Elle ! En la voyant, « deux » avait cessé d’être un banal nombre pair pour devenir le seul nombre d’une nouvelle arithmétique : tels deux soleils, ses yeux de braise brûlaient les miens quand je les regardais, ses deux lèvres appelaient les miennes pour qu’elles s’y écrasent, ses deux seins, tels deux puissants aimants, attiraient mes mains pour qu’elles s’y soudent, ses cuisses étaient les deux battants d’une porte de cathédrale qui n’avait qu’une vocation : s’ouvrir en grand pour fêter, dans la liesse, mon entrée triomphale…
Pire encore, son sourire était magnifique et, quand elle se mit à parler, sa voix fut du miel, et les mots qu’elle prononça de pures merveilles d’intelligence et d’à-propos. Une tête bien faite derrière un visage merveilleusement bien fait, au-dessus d’un corps diaboliquement tourné… Heureux Léo… mais les frissons de ravissement qui me secouèrent me suggérèrent, immédiatement, et sans scrupule aucun, d’envisager de provoquer son malheur et sa déchéance conjugale.
Avec son corps un tout petit peu plus lourd, la blonde Bénédicte, également trentenaire, aurait pu passer, ailleurs, pour une belle femme, mais à côté de Justine, ses charmes paraissaient plus fades, et elle était sans contestation possible condamnée à rester dame de compagnie de ...