1. Série insolite. Épisode 26 « Aurélien » : rêve de baiser Judith, la vendeuse de voitures. 5/15


    Datte: 24/07/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... prit Sabine dans la cuisine avant de diner, tout en pensant baiser Judith :
    
    — Il y a quelque chose qui t’a perturbé aujourd’hui mon chéri ?
    
    — Non Sab ! J’avais très envie de te faire l’amour.
    
    Pendant les dix derniers jours de décembre, avec les fêtes, les clients affluaient au garage. Judith accumulait les ventes, Aurélien, avec les révisions avant les départs en congé et la météo qui tournait à la neige, avait beaucoup de travail également, les changements de pneus se succédaient. Il s’apercevait que la vendeuse était de plus en plus froide vis-à-vis de lui. Sabine étant très occupée par ses devoirs à la Fac, était beaucoup moins disponible pour lui. Heureusement, pour se soulager physiquement, il avait toujours la petite employée de la caisse de la station qui n’attendait que l’occasion pour se faire sodomiser par son responsable.
    
    Agnès savait parfaitement lui vider les bourses, cela se passait bien souvent les midis lors de sa pause déjeuner, les clients se faisaient plus rares, elle passait toutes les pompes en automates et rejoignait son amant dans son baisodrôme à l’arrière de son bureau. Ce jour-là, la veille du réveillon de Noël, il finissait d’éjaculer une grande quantité de sperme sur les fesses d’Agnès qui venait de jouir, lorsqu’il entendit frapper sur la porte vitrée de son bureau.
    
    Il renfila à la va vite son pantalon et ordonna à sa jeune maitresse de ne pas bouger. C’était Judith qui attendait toute souriante sur le pas de la porte. Il se ...
    ... précipita pour lui ouvrir :
    
    — Je vais déjeuner à côté, je venais te demander si tu voulais bien te joindre à moi ? Lui demanda-t-elle.
    
    — Ouais ! pas de problème, vas-y, je te rejoins dans quelques minutes.
    
    Judith avait besoin de se confier, elle était malheureuse depuis sa séparation au mois de juin dernier. Elle sortait d’une relation de trois ans avec son responsable des ventes à la concession mère, lui étant marié, il lui avait promis de divorcer mais avait voulu rompre. C’était la raison pour laquelle, elle avait demandé sa mutation chez Prévost :
    
    — Tu comprends pourquoi, je n’ai jamais voulu céder à tes avances.
    
    — Tu me plais beaucoup Judith, dès que je te vois, j’ai une envie folle de toi.
    
    — Toi aussi, tu me plais mais tu es casé avec Sabine. Je n’ai pas encore couché avec un garçon depuis ma séparation.
    
    — Tu n’as pas tiré un coup depuis plus de six mois ? Comment fais-tu pour tenir ?
    
    — Et toi ! Pourquoi trompes-tu ton amie ? Comment fais-tu ?
    
    — Ce n’est que sexuel, j’ai besoin de faire l’amour souvent et Sabine n’est pas toujours dispo.
    
    — Oui ! Agnès, Carine et les autres clientes sont là pour te soulager, je ne veux pas devenir une de tes salopes. J’ai besoin d’un minimum d’affection, même si tu restes avec ton amie.
    
    Ce n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd, le soir même, il était resté au garage et avait prévenu Sabine de son retard, prétextant un surcroit de travail avant le réveillon. Vers 20 heures, Judith attendait le départ de son ...
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