1. Série insolite. Épisode 26 « Aurélien » : rêve de baiser Judith, la vendeuse de voitures. 5/15


    Datte: 24/07/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    Judith la vendeuse choisit au mois de novembre par la marque, pour ses compétences dans son travail, était une célibataire de trente ans. Dès qu’Aurélien l’avait rencontrée, il fut aux petits soins avec elle. Très vite, il avait fantasmé sur son corps, il était en admiration devant cette femme qui ne lui montrait pas son attirance. Ce n’était pas courant, le jeune mécano se sentait en échec, il s’était lancé le défi de parvenir de la baiser avant la fin de l’année. C’en était devenu une obsession, il ne comprenait pas car elle avait sympathisé avec lui mais sans jamais lui laisser la moindre ouverture.
    
    À 24 ans, Aurélien était un tombeur, il avait tout pour lui, beau, charismatique, ayant un charme fou, nombreuses étaient les femmes de tout âge qui rêvaient d’être un jour dans son lit. Pourtant Judith qu’il désirait de plus en plus, lui résistait encore après trois semaines. Certains signes ne le trompaient pas, au vu des regards qu’elle lui lançait et ses sourires, il pensait que cette jeune femme n’était pas insensible à son charme. Judith était toujours la dernière à quitter la concession, elle avait souvent des clients jusqu’à vingt heures, qu’elle recevait dans son bureau du hall d’exposition.
    
    Ce soir-là, il était 19h50 lorsque le couple Parmentier quittait le garage. Aurélien ayant à finir une voiture, était resté plus tard et fermait son atelier, lorsque Judith l’appela en levant des documents qu’elle tenait dans la main. Il s’approcha d’elle et attendait :
    
    — ...
    ... Je viens de conclure deux ventes d’un coup, Aurel. Ça te dit de fêter ça avec moi ?
    
    Il était franchement déçu de ne pouvoir rester, Sabine l’attendait à la maison et il ne voulait pas rentrer en conflit avec sa jeune compagne. Judith choisissait vraiment mal son moment. Cependant, l’occasion ne se représentera peut-être plus, il était pris entre deux feux. Il fit son choix :
    
    — Bien sûr ! Tu as du champagne ou je vais en chercher à la boutique ?
    
    — Non ! Viens avec moi en ville, je ferme et nous partons.
    
    Toutefois, Aurélien aimait Sabine, la fille du patron de surcroit, il le regretterait probablement mais répondit après un instant de silence qui parut un siècle à la vendeuse :
    
    — Désolé, Judith mais je ne peux te suivre en ville. Fêtons ces ventes ici, attends-moi je reviens. Lui dit-il en courant vers la boutique.
    
    Judith ferma le hall à clé, baissa le rideau de fer et monta dans sa voiture. Aurélien revenait avec à la main, une bouteille de champagne et deux flutes. Arrivée à sa hauteur, elle baissa sa vitre et lui dit :
    
    — Je file, Aurel, je ne te proposais pas une partie de jambes en l’air, juste un moment de détende entre amis. À demain !
    
    Le jeune homme fut vexé, c’était rare qu’il prenne un râteau comme celui-là. Cette fille devenait son cauchemar. Il était pourtant persuadé que ce soir, la vendeuse aurait fini les jambes écartées sous ses assauts mais elle avait une nouvelle fois reculé l’échéance. Excité comme pas deux, en rentrant à la maison, il ...
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