1. Le piège. (12)


    Datte: 23/07/2022, Catégories: Transexuels Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... parfois sa lingerie et ses vêtements ? Se douterait-elle de ma double vie sexuelle ? A-t-elle entraperçu mon jardin secret de travesti et ma liaison avec Monsieur Dubout ? Ces pensées me travaillent encore lorsque je me couche et caresse mon sexe par-dessus sa cage d’acier.
    
    Le lendemain soir, comme prévu, ma mère est de garde à l’hôpital et je peux me préparer tranquillement pour aller rejoindre Monsieur Dubout. Cette soirée de préparation ressemble aux précédentes, bain moussant, épilation complète, maquillage, perruque, lingerie sexy et petit tailleur BCBG. La seule différence est que mon sexe se retrouve pour la première fois dans un double écrin ; une petite cage de fer qui lui interdit de bander et un petit string de dentelle qui le met en valeur. Ce n’est finalement pas désagréable à regarder et cela a un petit côté très excitant et très ambigu. La cage entrave mon côté masculin et le string sublime mon côté féminin. J’espère tout de même que Monsieur Dubout ne me posera pas trop de questions sur le sujet.
    
    Il est tout juste 20h30 lorsque j’emprunte l’escalier de service qui me permet d’accéder discrètement à l’étage de mon hôte. En veillant à ne pas faire trop de bruit avec mes hauts talons qui résonnent sur chaque marche, je monte les trois étages et arrive devant la porte qui donne sur la cuisine de Monsieur Dubout. Ce n’est pas l’entrée principale qui donne sur le vaste escalier de marbre et l’ascenseur, mais disons que c’est l’entrée la plus appropriée ...
    ... pour nos rendez-vous secrets. Inutile de mettre en émoi tous les résidents du bâtiment, surtout qu’ils sont plutôt du style catho bobo écolo. Je donne quelques coups légers sur la porte, Monsieur Dubout m’ouvre et m’invite à entrer.
    
    La porte est à peine refermée derrière moi que Monsieur Dubout plaque ses mains sur mes fesses, m’attire tout contre lui et m’embrasse à pleine bouche. Je me laisse aller à ses envies viriles comme si je n’étais qu’une poupée de chiffon entre ses mains. Une fois ses premières pulsions apaisées, il me dit.
    
    — Alors Davina, comment vas-tu depuis notre dernière soirée il y a maintenant deux semaines ?
    
    Je lui réponds.
    
    — Je vais très bien Henri, mais j’ai beaucoup de travail à la fac.
    
    Il enchaîne.
    
    — Rien de tel qu’une soirée débridée pour se changer les idées. Sais-tu que mes deux amis Gilbert et Christian me demandent régulièrement de tes nouvelles ?
    
    Je ne doute pas que ses copains, avec qui il m’a partagé lors de notre dernière rencontre, se souviennent encore de nos ébats torrides et de nos joutes sexuels. Il faut dire que je me suis comporté en véritable petite salope avec ces deux sexagénaires. Mais je crois que c’est ce qu’ils attendaient et Henri avait dû les prévenir que j’étais du genre petite salope bien docile.
    
    Mais voilà que mon hôte m’attire dans son salon et m’oblige à me mettre à genoux devant lui. Il me dit alors.
    
    — Ce soir, nous allons prendre l’air en extérieur, car il est bon que tu t’habitues à sortir en ...
«1234...»