Que d'aventures - Histoires de Sexe

Que d'aventures

... laissé faire. Un jour ou l’autre, dis-je fataliste.
— Caro, on peut le faire, on ne se verra pas pendant deux semaines.
— Je t'ai déjà dit que c’était quand tu voulais. Je voudrais essayer un truc avant, mets-toi à quatre pattes.

Je lui écarte les fesses pour lui titiller la rondelle avec la pointe de ma langue. Ça lui fait des choses, il donne des à-coups du bassin qui lui font balancer les couilles. C’est rigolo.

— T’es sensible. Fais à moi pour voir.

Il y va de bon cœur, même son doigt en surface.

— Hi hi, tu me chatouilles…

Ça irradie tout autour, on ne contrôle pas les réactions. C’est mieux que d’être pénétrée.

Sur son élan, il m’a prise en douceur, tenue par les hanches et je ne sais quel voyage il a fait en prenant son temps.

Alban parti en déplacement, je retrouve à la coloc une Edwige enthousiaste :

— Je tiens une forme olympique ! Et toi ?
— Je vais m’ennuyer les fins de semaine. Ed, renseigne-moi si tu sais. Pendant que je suçais Roger, un garçon m’a sodomisée, tu sais qui ?
— Je sais qui. Tu me fais quoi en échange ?
— Moi.
— C’est déjà fait. Ce garçon cherchait une levrette, mais comme il a senti ton plug, il a visé la rondelle, voyant que tu ne disais rien, crac, dans le mille…
— C’est qui ?
— Luc, mon copain, mon chéri, quoi.
— Quel salaud ! Et toi, tu me dis cela tranquille.
— Quand je lui ai dit que tu étais ma chérie, que t’avais pas fait d’esclandre à cause du monde, waouh, tout penaud qu’il était. Ça prouve qu’il est ...

... bien élevé.

Un coup de sonnette.

— Ça doit être lui qui vient me chercher.

Un beau jeune homme brun fait son entrée.

— Luc, je te présente Caroline, ma chérie. Tu sais, la sodomisée de l’orgie.

Oh, ce fard qu’il pique ! Il me tend la main :

— Caroline, me pardonnerez-vous ma liberté ?
— Luc, vous étiez très plaisant là où vous étiez.
— V’là qu’elle aime ça ! Luc. Par devant, elle aime pas, tu sais quoi faire maintenant.
— Heu… Hum…
— Ed, tu m’énerves. Mon cher Luc, elle dit vrai, je n’aime pas être limée, par contre j’adore la fellation, le cunni, les caresses, qu’on me martyrise les tétons, j’adore les menottes, c’est tout, Edwige aide-moi.
— La fessée.
— Merci, ma chérie. Mon cher Luc, vous ne serez pas pris au dépourvu.
— Quel CV ! ironise Edwige ! Nous n’avons plus qu’à partouzer pour vérifier. Quand ?
— Quand Alban sera là, pas de souci.
— Tu lui as juré fidélité ?
— Je veux que nous partagions les premières fois ensemble.
— Caro, y a des fois, je ne comprends pas ton logiciel. D’accord, les quatre ensemble.
— Sur ce, je file à la maison. Luc, vous êtes un beau garçon.
— La garce, elle te drague !
— Luc, je ne suis pas contre un petit trio…
— Garce ! Fous le camp !

Elle vient d’avouer qu’elle est grave mordue, l’Edwige !

Mes parents ne rentrant que vers 19 h, je décide de faire une pizza tout anchois. Mais avant, je vais consulter le site internet pour le boulot. Tout passant par l’école, je réponds à cinq offres avec mes projets ...