Que d'aventures
Datte: 23/07/2022,
Catégories:
fff,
fhh,
fhhh,
copains,
boitenuit,
Oral
fsodo,
hsodo,
jeu,
libercoup,
Auteur: Mince-alors, Source: Revebebe
... mes fesses. À la table de mes parents :
— Bonsoir, M’man, bonsoir Pa, bonsoir, Tata Sophie, bonsoir, Tonton David… Je vous présente Alban, mon copain. Al, tu sais qui est qui maintenant.
— Bonsoir mon gendre, dit Maman.
— Quel beau futur neveu, glousse Sophie !
— Bonne soirée. À plus ! dis-je en tirant d’autorité Alban vers l’autre banquette.
— Que… que… anone-t-il.
J’ignore ces « que… que… » pour rouler une galoche à la fille timide et raide des barres, son copain m’explore les fesses, pourvu que Maman mate. C’est absolument mesquin ce que je fais, j’en suis béate, ça passe les nerfs.
Sous la douche, avant de rejoindre l’alcôve n° 8, Alban :
— C’est ta maman ? Et ta tante ?
— Oui… Je t’expliquerai plus tard. On nous attend.
Je ne sais pas si je dois dire mince alors ou mon Dieu. Jugez-en.
Suzy ne touche plus terre, prise en sandwich entre deux hommes et mon Roger en extase devant ce tableau. Suzy nous fait un clin d’œil, elle n’a pas l’air de souffrir. Cette image se grave dans ma mémoire, pas que la mienne, Alban a l’air intéressé. Edwige suçant une queue le tire, lui demande de la prendre en levrette.
L’orgie ou la partouze bat son plein. Je serre mentalement des fesses pour n’avoir pas d’intrus dedans. Je me penche sur la queue de Roger. Extasié par sa moitié, extasiée par deux queues, je ne sais pas s’il m’a vue. Ses mains dans mes cheveux me disent que si. Soudain, une main sur mes fesses, je me raidis pour me laisser aller. Le doigt cherche ...
... où se caser. Le plug vaginal l’indispose, ma rondelle est libre. Ah le cochon ! j’en reste neutre à sucer, cela devait arriver. Fataliste, j’ouvre légèrement mes cuisses, un laissez-passer pour un visiteur inconnu. Je viens de faire mon entrée dans le monde de l’orgie ou la partouze.
Plus tard, je saurais qui, le monde est petit.
Le lundi matin, la saison estivale du club est finie. Cela va être le week-end prochain que nous nous en rendrons vraiment compte. Le petit-déj au soleil est agréable, Alban est curieux :
— Tu as des parents libertins, raconte. Ta maman est super belle comme ta tante.
Je lui raconte grosso modo le pourquoi du comment, que c’est moi qui, toute petite, avais baptisé Tata et Tonton les amis de mes parents.
— C’est une vraie histoire pour roman. Pourquoi qu’elle a dit mon gendre ?
— Elle nous voit mariés.
— Comme ma mère. Caro, j’ai quèque chose à te dire la concernant…
— J’écoute.
— Heu, elle est lesbienne, c’est un de ses copains qui l’a aidée à me procréer. Tu saisis ?
— T’es super bien réussi. Tu connais ton père ?
— Oui, elle ne m’a jamais rien caché et comme nous nous voyons très peu, il est super cool.
— Tu me présentes à eux…
— Tu veux ? Oui, faut concorder une date, je m’en occupe. Caro, t’as vu Suzy hier, je ne l’ai jamais vue si dévergondée.
— C’était acrobatique, dis-je prudemment. Tu étais après Edwige, as-tu vu qui m’a sodomisé pendant que je suçais Roger ?
— Non. Ça t’as fait quoi ?
— J’ai été surprise puis j’ai ...