1. Pour l'amour de l'interdit (1)


    Datte: 22/07/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Original, Source: Xstory

    ... vraiment 22 centimètres.
    
    — Pff... Je m’en doutais. T’es bien un mec. Enfin c’est pas grave, envoie quand même.
    
    — Euh... OK... 5 minutes.
    
    Je cherchai une règle, me déshabillai dans ma chambre. Sauf que je ne bandai pas... Je renvoyai un SMS à ma prof.
    
    — Euh, Marie, dis-moi, t’aurais pas un petit remontant pour m’aider à bander ?
    
    — Espèce de voyou, répondit-elle avec un émoji rigolant. Débrouille-toi, regarde un porno. T’as tout ton temps.
    
    Raté... Bon, pas le choix, il allait falloir sortir le bon vieux porno. Un casque sur les oreilles, une vidéo de Mia Khalifa, et voilà... Je bande bien. Quelques caresses plus tard je bande même vraiment dur. Je sors une règle, mon tél et j’envoie la photo, des doutes à l’âme.
    
    Une minute plus tard :
    
    — Eh beh ! T’es bien monté quand même ! Belle bite !
    
    — Euh... Merci.
    
    — Je pourrais la voir en vrai demain ?
    
    — Euh... Oui. J’aurais rien en échange, j’imagine ?
    
    — Nan ! Mais t’inquiète pas, tu vas bientôt être largement remboursé...
    
    — OK.
    
    — Bon, je vais y aller. A plus.
    
    — A plus. »
    
    Je ne savais plus trop quoi en penser. J’avais enfin accès à ce dont j’avais rêvé. Mais la manière dont je l’obtenais...
    
    J’ai toujours trouvé le concept des nudes assez malsain, mais il a suffi que ce soit elle qui me demande pour que mes doutes s’envolent. J’avais beau être majeur, cette relation était un peu malsaine. Malgré tout, après une insomnie à y penser, les doutes laissèrent à nouveau la place à ...
    ... l’excitation. Mme Caron m’avait demandé par SMS de lui montrer ma bite en vrai, et je le voyais comme un palier dans ma vie sexuelle. Mes quelques cours de la journée passèrent en un éclair, mon imagination m’occupant plus que les profs. Je la voyais déjà me sucer goulûment, aller jusqu’au fond de sa gorge comme dans les pornos que je regardai après 23h, me caresser le gland...
    
    Je dus passer tous mes cours avec une gaule indiscrète au pantalon. Et enfin, en dernière heure, le cours de maths. Le contenu, comme d’habitude, m’échappait un peu. Mais les mouvements de ma prof, eux, je les scrutais avec une attention toute particulière. Ses jolis seins me donnaient envie, sous son pull. J’attendais la fin du cours. Et au bout de l’attente, la sonnerie sonnait enfin. La salle se vidait, et je voyais l’échéance s’approcher tout doucement. La salle était vide. Plus que moi et ma prof, qui se rapprochait tout doucement.
    
    — Alors, cette promesse ?
    
    J’écartai les jambes comme pour l’inviter à chercher toute seule l’objet convoité. Mais elle me fît signe de me lever et d’enlever mon pantalon tout seul. La seconde d’après, j’enlevai mon caleçon et lui montrai mon sexe, obéissant, soumis, donnant tout, sans savoir quoi recevoir.
    
    — Tu ne te rases pas ?
    
    — Euh... Non pourquoi ?
    
    — Tu attends des femmes qu’elles soient rasées ?
    
    — Je préfère...
    
    — Alors, rase-toi. Apprends une chose, ici, pour la première fois, le pénis entre tes jambes ne te donne aucun privilège. Il peut y avoir ...