1. Pour l'amour de l'interdit (1)


    Datte: 22/07/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Original, Source: Xstory

    ... bouton de sa chemise déjà un peu ouverte, ne laissant pour l’instant apparaître que la jointure entre les deux bonnets. Elle continua, partant du bas cette fois, pour garder le mystère. Dans mon pantalon, plus rien ne tenait. Elle enleva le troisième bouton, et son nombril apparut, narquois, moqueur, face à moi. Elle enleva un nouveau bouton. Il n’en restait plus que trois. Elle enleva rapidement le suivant, puis patienta sur l’avant-dernier, avant de l’enlever vraiment. Sa poitrine était presque dévoilée, à l’étroit, retenue par un dernier rond de nacre dans sa prison en tissu. Elle resserra ses seins avec les mains tout en me lançant un regard coquin et, enfin, enleva sa chemise, dévoilant sa belle poitrine à travers son soutien-gorge blanc en dentelle. Elle demanda :
    
    — Alors ? Ils te plaisent ?
    
    — Ils sont superbes Madame.
    
    — Bon, j’imagine que tu meurs d’envie à l’idée de les voir tous nus non ?
    
    — Oh oui Madame.
    
    — Alors on recommence. Simple toujours. 3 au carré ?
    
    — 9
    
    — 13x14 ?
    
    — Euh... 182... ?
    
    — Oui. 9 au carré ?
    
    — 81 !
    
    — Eh beh... Si je te promettais mes seins en cas de bonne note, tu réussirais aussi bien ?
    
    — Il faudrait me montrer plus Madame...
    
    — Petit malin va. 15x16.
    
    — Euh... 255 !
    
    — Non ! Raté ! Désolé pour toi, je ne te montrerais pas plus...
    
    —...
    
    — Allons, fais pas cette tête ! Tu es bien le seul élève à avoir eu l’occasion de me voir en soutien-gorge. Et puis, je me suis bien amusée, on remettra ça...
    
    — ...
    ... Sérieusement ?!
    
    — Oui, oui. Donne-moi ton numéro de téléphone. »
    
    Elle prend mon numéro, puis me donne le sien en se rhabillant. Elle sort poliment de la salle, je la suis puis m’en vais en ayant l’air le plus normal possible. Dans ma tête, je ne l’étais plus du tout.
    
    Le lendemain, lors du cours de Maths, aucune référence à ce qu’il s’était passé la veille. C’est seulement le surlendemain, mercredi, qu’en sortant des cours, elle se mît à marcher à côté de moi avec des airs de bonne camaraderie. Jusqu’à ce qu’elle me demande :
    
    — Dis-moi, honnêtement... C’est dur à demander, dit-elle, embarrassée. En érection, tu fais quelle taille ?
    
    Un peu déstabilisé par la question, je balbutiai :
    
    — Euh... 22 centimètres...
    
    — Roh, vraiment ? Mens pas hein !
    
    — Oui, oui, ajoutai-je sans conviction, puisqu’évidemment, mon sexe n’en mesurait que 18.
    
    — Hmm, c’est louche tout ça... On se parle en SMS ce soir d’accord ?
    
    — Euh, d’accord Madame.
    
    — En privé, appelle-moi Marie s’il te plaît.
    
    — D’accord Marie. »
    
    Appréhensif, je gardai mon téléphone près de moi toute la journée. À 21h, elle m’envoya un SMS :
    
    — Salut !
    
    — Salut Marie.
    
    Cette réponse avait surtout pour but de tester notre proximité.
    
    — Ça va ?
    
    — Ouais et toi ?
    
    — Oui. Bon. On va passer à du plus sérieux. Envoie une photo de ta bite.
    
    — Quoi ???
    
    — Une photo de ta bite. Avec une règle à côté.
    
    — Pourquoi ?
    
    — Chut. Tu regretteras pas.
    
    — Bah, en fait, c’est-à-dire que... J’ai pas ...