Julia : aveux et amitié
Datte: 21/07/2022,
Catégories:
ff,
vacances,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
intermast,
uro,
gifle,
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lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... consacra le dimanche à la visite d’un musée océanographique. On avait conservé les mêmes tenues, ce qui forçait Julia à redoubler de précautions pour ne pas déclencher un scandale en public. C’était également le cas pour Chantal qui, par solidarité féminine, et un peu par plaisir, se passait aussi de culotte depuis la veille. Les gamines n’avaient pas ces ennuis. Elles riaient, d’ailleurs, des poses, excessivement mesurées pour elles, de leurs mères. Elles furent par contre ravies du spectacle coloré des aquariums.
Ni au cours de ces journées ni pendant les nuits qui les suivaient, Julia et Chantal ne se touchèrent autrement que par de banals contacts imposés par la cohabitation. Elles ne jouaient pas les pudibondes, cependant, continuant à dormir nues ensemble et ne se cachant nullement l’une à l’autre leurs seins, leurs fesses ou leur sexe. Il s’était installé entre elles un équilibre fragile où la conscience d’être dépositaire d’une confidence ultime compensait le souvenir prégnant d’un total abandon de soi. Du moins était-ce ainsi que chacune le ressentait. C’eût été trop bête qu’un geste inconsidéré détruise leur relation affective naissante.
Le lundi apporta deux nouvelles. La bonne, ce fut que la panne qui immobilisait la voiture de Julia était mineure. En moins d’une heure, le mécanicien régla facilement le problème. La mauvaise, c’était qu’il fallait se séparer. Les filles avaient le cœur gros, les mères aussi. On donna une heure aux gamines, après le ...
... déjeuner, pour se faire leurs adieux. On ne sait pas à quoi elles l’employèrent.
Les mères se retirèrent dans leur chambre, se regardèrent, hésitèrent, puis, mues par une impulsion commune, se mirent nues pour s’enlacer.
— J’avais besoin de sentir encore une fois votre corps contre le mien, murmura Julia.
— J’avais besoin de vous remercier peau contre peau, lui souffla Chantal.
Elles s’étreignaient comme le premier soir, bouche-à-bouche, seins à seins, ventre à ventre, cuisse à sexe et sexe à cuisse, la main de l’une sur les fesses de l’autre, allant jusqu’à caresser du bout de leurs doigts l’ultime endroit sensible qu’elles n’avaient encore osé toucher. Elles restèrent soudées autant que leurs poumons le leur permirent.
— Je mouille, se confièrent-elles mutuellement à l’oreille en se détachant.
— Pouvez-vous vous masturber sans mal ? J’aimerais… encore une fois, avec vous, avoua Chantal.
— Je n’ai plus essayé, mais tant pis pour la douleur, moi aussi j’en ai envie, reconnut Julia.
— Est-ce bien raisonnable ?
— Non. C’est nécessaire ! Pour la dernière fois…
— La dernière d’ici longtemps. Pas la dernière tout court, j’espère !
Elles s’installèrent en tailleur, face à face, bien en vue l’une de l’autre, et partagèrent leur plaisir. Pensèrent-elles qu’une des filles pouvait débouler à tout moment dans la pièce ?
Leur relation perdura. Peut-être grâce à la culotte que Chantal avait donnée à Julia après qu’elle se fut essuyé la fente après leur masturbation du ...