Julia : aveux et amitié
Datte: 21/07/2022,
Catégories:
ff,
vacances,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
intermast,
uro,
gifle,
piquepince,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... preuve en essayant d’atténuer ses souffrances lui étaient un doux réconfort. Elle posa doucement la poche glacée sur son intimité tuméfiée en frissonnant à ce contact. L’apaisement fut presque immédiat, au grand soulagement des deux. Il ne restait qu’à attendre le lendemain pour de plus amples informations.
Après un bisou tendre et chaste, elles se couchèrent dos à dos d’un commun accord. Sans l’exprimer, chacune s’évitait ainsi la tentation probable qu’un enlacement aurait provoquée, sans se priver de la douce rencontre de leurs fessiers ni du toucher sensuel de leurs pieds. La douleur s’estompant pour l’une, l’esprit vagabondant pour l’autre, mais les sens repus pour les deux, elles s’endormirent rapidement, sans drap ni chemise.
Le soleil était déjà haut, les filles pépiaient gaiement dans la cuisine. La chambre de leurs mères était plongée dans un mystérieux silence qui les arrangeait bien. Elles s’étaient concocté un petit déjeuner à leur convenance et dégustaient avec délices les friandises auxquelles elles n’avaient en principe accès qu’en périodes exceptionnelles. Mais n’en était-ce pas une, justement ?
Au bout d’une heure, elles commencèrent à s’impatienter, la perspective d’une journée perdue ne les enchantant pas. Brigitte, en sa qualité d’aînée, prit les choses en main. Elle alla toquer, discrètement puis plus fort, à la porte. N’obtenant pas de réponse, elle l’entrouvrit, découvrant le tableau surprenant de sa mère et de l’autre dame, allongées sur le ...
... dos, abandonnées au sommeil, jambes ouvertes, un pied de l’une sur celui de l’autre. Si elle remarqua que la dame tenait quelque chose serré sur sa minette, elle ne s’attarda pas à en savoir plus. Le mouvement paresseux d’un bras l’incita à refermer sans bruit la poignée.
— Elles vont bientôt se lever, rapporta-t-elle laconiquement à ses compagnes.
Chantal et Julia se réveillaient, en effet. Elles mirent un certain temps à rassembler leurs idées avant d’avoir la même en même temps. Leurs regards se portèrent simultanément sur l’entrecuisse martyrisé. Le constat était moins grave qu’elles ne le craignaient.
— N’empêche, je crains de ne pouvoir supporter une culotte pendant deux ou trois jours, remarqua Julia avec fatalisme.
— Sans doute, approuva Chantal. Et je pense qu’il serait bon d’éviter le naturisme…
Ce fut la seule évocation de leur soirée déchaînée qu’elles échangèrent jusqu’au départ de Julia et de sa fille. Le samedi se passa sans autre aventure qu’une petite promenade dans les environs forestiers de la maison. Chantal avait prêté une robe, un peu juste, certes, vu leurs morphologies différentes, mais Julia s’en accommoda, en faisant malgré tout attention en se penchant ou en s’asseyant. Pour les tennis, heureusement, elles avaient une pointure identique. Sandra avait imité sa mère en procurant à Marion chemisier et short propres. Le désappointement des fillettes, privées de leurs jeux de plage, fut maternellement consolé par les pâtisseries du soir.
On ...