1. Une chute de vélo (21)


    Datte: 21/07/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Mandrakke, Source: Xstory

    ... mais sans plumes. Deux hommes, le premier, assez musclé avec une barbe de plusieurs jours et un tatouage sur le bras que je ne pouvais pas identifier ; le second, chauve, plus rond et ventripotent. Ils pelotaient une femme déjà nue. En silence, Gordon s’assit à même le sol. Je voulus faire demi-tour, mais Julie me fit comprendre qu’elle souhaitait rester. J’imitai Gordon, qui regardait attentivement les ébats qui étaient déjà en cours. Les deux hommes tétaient avidement chacun un sein et baladaient leurs mains sur le corps de cette femme qui gémissait sous ces caresses. Elle-même cherchait à glisser ses mains dans les shorts de ses amants.
    
    Le barbu retira entièrement ses vêtements. Il était très poilu, partout, bras, torse, dos, jambes, ainsi que son sexe, déjà à l’horizontale. L’autre en fit autant. D’où j’étais, je ne voyais que son dos, très blanc, il ne devait pas prendre le soleil souvent, mais il me sembla plus âgé. Le chauve passa derrière la femme. Je la trouvai bien proportionnée, avec une large trace de maillot une pièce dans le dos, jusque sur ses fesses fines. Le gars derrière elle, la caressa entre les jambes alors qu’elle se penchait en avant pour sucer le baraqué poilu.
    
    — Beurk, me souffla Julie dans l’oreille.
    
    — Qu’y a-t-il ?
    
    — Tous ces poils, c’est répugnant.
    
    Mon ange avait raison, ce gars était un ours, aussi poilu, probablement aussi fort. Je le regardai pousser sa bite dans la bouche de cette femme dont il avait saisi la queue de cheval ...
    ... pour mieux lui bloquer la tête, le nez enfoui dans les poils de son pubis et…
    
    Mais bon sang ! Une semaine plus tôt, j’étais encore presque comme lui, poilu partout et mon ange venait de m’avouer qu’elle… oh non… je la serrai contre moi, comme pour m’excuser de cette pilosité qu’elle n’avait probablement jamais appréciée chez moi, sans rien oser me dire jusqu’à ce qu’elle et Natacha… Je fermai les yeux, l’embrassai dans le cou sans rien dire, cherchant une idée qui aurait pu me racheter de mon manque de savoir vivre. J’aurai dû deviner cela lorsque j’avais découvert son sexe parfaitement épilé.
    
    — Salut la compagnie !
    
    Je sursautai, craignant le passage de promeneurs qui auraient pu nous surprendre ainsi, en train de mater ces individus assez occupés. Heureusement, cette salutation provenait du sentier d’en bas où deux randonneurs, un homme et une femme venaient d’arriver. Mais s’agissait-il réellement de promeneurs ? Aucun d’eux ne semblait surpris. Ils s’étaient vraisemblablement donné rendez-vous devant cette grotte qui se trouvait une quarantaine de mètres plus bas que nous. Je la connaissais, pour y avoir joué étant ado, et y être resté longtemps à certaines périodes de ma vie. Mais à ce moment-là, elle était très peu fréquentée...
    
    — Dis-moi, ils sont chauds par chez toi, me souffla Julie à l’oreille, interrompant mes pensées.
    
    Je regardai les nouveaux arrivants, qui s’étaient déjà dévêtus. Ils étaient tous deux bronzés et musclés. La femme était impressionnante, ...
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