1. Je fais mon cinéma


    Datte: 18/07/2022, Catégories: fffh, grp, fagée, gros(ses), grosseins, poilu(e)s, fête, telnet, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme caresses, nopéné, nostalgie, portrait, videox, Auteur: Antilope, Source: Revebebe

    ... imposé un soutien-gorge sous-dimensionné pour le volume de leur poitrine. Il m’arrivait aussi de les faire jouer les dominatrices dans des séquences où elles se servaient de leurs seins pour faire suffoquer leur victime… masculine évidemment.
    
    Il y avait ces femmes avec des courbes hallucinantes, qui habituellement se cachent sous des vêtements amples, mais qui dès qu’elles enfilent une robe moulante se transforment en déesse. Certaines, complexées au début de l’aventure, s’étaient révélées en découvrant l’intérêt qu’elles suscitaient.
    
    Il y avait aussi ces femmes de tous âges, dont le corps marqué par les grossesses et la cellulite semblait recouvert d’un matelas d’eau que le moindre mouvement faisait onduler comme la mer… J’aimais beaucoup celles-ci, car rien ne tenait sur leurs fesses et leurs seins impalpables. Avec elles, la nudité n’était jamais très loin… Lorsqu’elles étaient habillées judicieusement, quelques sautillements leur suffisaient pour paraître nues. Parfois, descendre un escalier ou courir quelques mètres suffisait à créer une réaction en chaîne ou leur corps, réveillé par les secousses, s’échappait de leurs vêtements par toutes les ouvertures…
    
    Il y avait celles qui ne s’épilaient plus. Soit parce que je les y avais encouragées, soit par choix.
    
    Ornées de leurs trésors poilus blottis sous leur bras et au creux de leurs cuisses, elles dégageaient un érotisme primaire et violent dans des gestes très simples comme celui de se recoiffer, ou de se ...
    ... promener en maillot de bain.
    
    Une fois nues, elles nous envoyaient fièrement à la figure leurs trois touffes de poils comme une provocation, à nous, les mecs… Comme pour nous dire que les attributs féminins sont poilus eux aussi. J’adorais les habiller avec des robes de soirée distinguées, mais sans manches, et leur faire porter les mêmes culottes minuscules que ces femmes qui s’épilent intégralement, afin de voir ces petits morceaux de tissus disparaître dans leur forêt vierge.
    
    Il y avait celles qui approchaient la soixantaine, mais dont le corps était très bien conservé, qui n’avaient peur de rien. Jouant de leur expérience en matière de séduction, elles se mettaient en scène toutes seules et je ne faisais que les suivre dans leurs délires. Grâce à leur esthétique unique, elles s’étaient fait une clientèle très fidèle, y compris parmi les plus jeunes.
    
    Et enfin, il y avait celles qui, en toute circonstance, avaient envie de faire pipi et qu’on obligeait à se retenir pendant les tournages, pour exploiter leur faiblesse, car leur détresse et les gestes qu’elles faisaient pour se retenir étaient d’un érotisme fou. Celles-là, j’aimais les faire boire et leur faire porter des vêtements compliqués à retirer pour les tenir à l’écart de tout accès à des toilettes. J’aimais les faire se chatouiller, les faire rire, les enfermer dehors, jusqu’à ce que sous la pression de leur vessie trop petite, elles finissent par oublier toute pudeur et se soulagent devant la caméra dans une ...