1. Je fais mon cinéma


    Datte: 18/07/2022, Catégories: fffh, grp, fagée, gros(ses), grosseins, poilu(e)s, fête, telnet, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme caresses, nopéné, nostalgie, portrait, videox, Auteur: Antilope, Source: Revebebe

    ... coulait à flots.
    
    Je mettais en situation chacune de ces femmes, seules, en couple, avec un homme, ou pas, à plusieurs, en fonction de ce qu’elle acceptait de faire et de sa morphologie. Je les habillais dans ma tête comme des poupées, je leur mettais des vêtements trop petits, trop lâches ou trop courts, que je leur faisais perdre un à un. L’une en faisant du bricolage, l’autre faisant du jardinage. Je faisais intervenir des éléments extérieurs : le vent, la pluie, la gravité… Je me transformais en petite souris pour les filmer sous leur bureau ou à travers le rayonnage d’un magasin. Je me cachais derrière le buisson où je les faisais faire pipi après les avoir fait attendre pendant des heures. Je les faisais jouer au volley-ball dans la piscine du studio après avoir desserré les nœuds de leur bikini. Je faisais tomber les bretelles de leurs robes. Je leur faisais faire du jogging avec un soutien-gorge trop petit. Je les faisais s’asseoir face à la caméra en mini-jupe ou leur faisais faire un pique-nique sur l’herbe en robe courte. Je les promenais en petite jupe volante par grand vent. Je les suivais discrètement sous la douche, dans l’ascenseur, ou dans les toilettes dans lesquelles je les faisais se livrer à toutes sortes de plaisirs solitaires…
    
    De temps en temps, je glissais ici ou là quelques acteurs masculins à qui je donnais un rôle d’accessoire, de souffre-douleur, comme pour me venger de leur condition physique que j’enviais. Je les faisais étouffer sous des ...
    ... dizaines de fesses et de seins, ou bien leur donnais le rôle du voyeur qui ne peut rien toucher… celui qui fait la courte échelle parce que madame, en petite jupe, veut cueillir des cerises dans l’arbre et qu’elle a les fesses un peu lourdes…
    
    Bref, d’un coup, tout devenait possible. J’avais la part belle du travail, pendant que Patrick s’occupait des contrats et des salaires, moi je jouais les apprentis sorciers… je me transformais en l’homme invisible.
    
    Je suis revenu quelques jours après avec une cinquantaine de projets et une liste d’accessoires et de vêtements. Les tournages pouvaient commencer !
    
    Le grand jour est enfin arrivé. Le premier scénario mettait en scène une femme noire, superbe, avec une poitrine gigantesque, dans une bibliothèque qui n’était autre que la salle d’archive du studio. Handicapée par la taille de ses seins mal maintenus par un soutien-gorge que j’avais prévu exprès trop petit, elle devait transporter des piles de dossiers dans ses bras pendant que les bretelles de sa robe et de son soutif ne feraient que tomber, car j’avais prévu de les desserrer et de les lester. Pour aggraver encore les choses, sa robe inadaptée était prévue pour remonter sans arrêt et elle devait grimper sur un escabeau pour accéder aux étagères. Ça promettait d’être d’une beauté incroyable.
    
    Une fois sur place, j’ai eu peur ! j’ai été impressionné par cette femme imposante et fière avec laquelle j’avais joué sur le papier, mais maintenant elle était là, devant moi et en ...
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