1. Une chute de vélo (6)


    Datte: 18/07/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Mandrakke, Source: Xstory

    ... l’ai aidée à s’habiller tout en la couvrant de baisers et je l’ai ramenée chez elle à contre cœur. L’ascension des quatre étages fut un calvaire, le nez dans ses cheveux, son odeur, le contact de mes mains sous ses cuisses, tout me faisait mal et m’invitait à rester contre elle. Je l’ai rapidement déshabillée pour la mettre au lit et après un long baiser et la promesse de revenir la voir au plus vite, je suis rentré chez moi, j’ai préparé mes affaires pour mon travail et je me suis couché. Je me suis endormi en visualisant son visage, son corps, en pensant à elle et à ce week-end.
    
    Le lendemain, le trajet fut monotone, rien n’arrivait à la chasser de mes pensées. Une fois chez mon client, une bonne surprise m’attendait. Il souhaitait écourter l’arrêt de production dû à mon intervention. Je lui proposais alors de faire de plus longues journées et de réduire mes temps de pause à midi. Cela lui coûtera juste un peu plus cher. Après avoir obtenu l’accord de ma direction, je me suis mis au travail pour finir au plus vite. Je pourrais ainsi rentrer plus tôt. J’ai ainsi pu terminer mercredi en fin d’après-midi avec un jour d’avance. J’étais pressé de rentrer pour récupérer mon sommeil auprès de Julie. Dès le redémarrage des équipements validés et les formalités administratives traitées, j’ai repris la route oubliant la fatigue accumulée.
    
    Etrangement, la route du retour m’a semblée plus courte.
    
    22h30, je me gare devant l’appartement de Julie. Un coup d’œil à ses fenêtres, il ...
    ... y a de la lumière, elle ne dort pas encore. Je grimpe des escaliers rapidement et je sonne à sa porte avec un grand sourire. La porte s’ouvre, et Julie explose de joie en me voyant.
    
    - HERVE !
    
    Sans les béquilles, je crois qu’elle aurait bondi sur moi. C’est donc moi qui la soulève dans mes bras, la serrant contre moi. Elle a immédiatement lâché les béquilles pour m’enlacer. Elle me serre dans ses bras et m’embrasse fougueusement. Je ne me défends pas, bien au contraire, je suis ravi de la revoir et je ne m’en cache pas, je ne la repose pas, je continue de l’embrasser de plus belle.
    
    - Humm ! Bonsoir.
    
    Je relève la tête, et je remarque Katia qui nous regarde amusée, les bras croisés. Cette position lui resserre sa poitrine, plus imposante que celle de Julie et déjà mise en valeur par ses dessous et son haut largement ouvert pour laisser deviner la vallée entre ces deux monts. Son copain doit bien s’amuser avec. Une jupe qui laisse voir juste un peu plus haut que ses genoux, permet de laisser libre court à l’imagination pour deviner ce qu’elle cache.
    
    - Et bien ! Julie me disait justement que son Saint Bernard lui manquait. Je ne pensais pas que c’était aussi sérieux, et encore moins que vous étiez capable de rappliquer au moindre appel de Julie, qui plus est, émis en pensée.
    
    Je fais demi-tour pour fermer la porte d’un pied toujours sans lâcher Julie, suivi d’un second pour faire face à Katia.
    
    - Bonsoir Katia. Comment allez-vous ?
    
    - Bien, je tenais compagnie ...
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