Des espoirs
Datte: 16/07/2022,
Catégories:
fh,
fplusag,
voisins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
intermast,
pénétratio,
attache,
délire,
Humour
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... nudité apparut.
— Fatche de pute… une meuf… et à poil ! Pas mal roulée pour son âge. Tu dois pas t’embêter mon salaud. J’entrave mieux… Z’êtes venus là pour jouer tranquillou !
Tétanisée par la vue de l’homme ou du pistolet, elle restait figée, les bras ballants offrant au regard concupiscent du Suédois une vue panoramique sur son anatomie. Jeff se plaça devant elle.
— Qu’est-ce tu fais, toi ? Bouge, je veux mater mamie.
Le mot mamie ne plut pas, mais alors pas du tout à Madeleine. Elle repoussa Jeff et, mains sur les hanches, elle affronta la petite gouape.
— Vous vous prenez qui, espèce de goujat ! Vous avez été élevé dans une porcherie ! Vous croyez que votre mère serait fière de vous si elle vous entendait parler ainsi à une dame. Je dis pas votre femme parce qu’avec un tel manque d’éducation, ça m’étonnerait que vous en ayez trouvé une.
Jeff béait d’admiration devant l’audace de Madeleine, mais il craignait que la réaction de Willander. Surtout que pris par sa diatribe, elle ne s’apercevait pas du spectacle qu’elle donnait : ses petits seins aux tétons excités ballottaient au rythme de sa gesticulation, ses yeux brillaient de colère. Il avait envie de la prendre dans ses bras et il supposait que le Suédois devait éprouver les mêmes sentiments. Il se trompait gravement.
— Fermez-la ! Bouclez-la ! Taisez-vous ! Fatche de salope ! C’est pas vrai ! La scoumoune me poursuit. J’en chie comme un Russe pour traverser le pont plein de merde. J’m’dis les ...
... bouseux ont dû être évacués ? J’choisis la turne la plus pourrave. Et je tombe sur une baraque où y’a une vieille et son gigolo qui prennent du bon temps. Et toi, tu dis pas du mal de ma maternelle, compris ? Bon faut que tu te rhabilles, sinon tu vas prendre froid et tu vas encore m’avoiner. Tes fringues sont dans le baisodrome, j’suis sûr ! Allez, on va chercher.
D’un geste éloquent de son pistolet, il indiqua à Madeleine de se bouger.
— Toi aussi, le matou. Tu suis. T’as du goût pour les vieilles ! Je reconnais qu’elle est bandante, mamie, avec ses petits seins et son cul qui tombe pas trop. Et t’as vu comme il remue… eh bé, t’as pas dû t’ennuyer.
Jeff ne savait pas quel jeu Madeleine jouait, mais elle en rajoutait. Elle montait l’escalier en tortillant du cul de manière plus que suggestive.
— Si c’est comme ça que vous parlez aux dames, je comprends que vous soyez contraint à la masturbation. Ou au viol. Non, c’est pas votre style !
— Elle est marrante, la daronne. T’as raison ma poule, je respecte les dames, mais t’as tort, la veuve poignet, c’est pas mon truc et si t’avais déjà pas un coquin, j’t’f’rai une démonstration.
S’adressant à Jeff :
— J’t’comprends, vu comme elle tortille du valseur, ce doit être un sacré bon coup. Ses heures de vol, ça devient bonus.
Entrée dans la chambre, Madeleine enfila le premier vêtement qu’elle trouva : le peignoir de Mathilde qui traînait sur une chaise. S’il ne couvrait pas grand-chose, il cachait au moins ...