Nuit d'orage, nuit magique
Datte: 16/07/2022,
Catégories:
ff,
fbi,
fplusag,
alliance,
fdomine,
revede,
BDSM / Fétichisme
intermast,
Oral
fist,
init,
occasion,
Auteur: Birdies, Source: Revebebe
... Florence, la pulsion était trop forte, la raison basculait.
Me voilà nue, une serviette de bain comme seule protection, à côté de ma belle-mère. Cette situation me troublait, choquait ma pudeur. Florence colla sa bouche sur mon cou encore humide, sa main tira sur la serviette voulant dénuder ma poitrine. Je luttai, j’étais dans une incompréhension totale. Dans un geste de protection, je m’accrochais à ce tissu dérisoire. La bouche de Florence continuait sa pression sur mon cou par des baisers sensuels.
— Mais enfin ! non !
La bouche gourmande courait sur ma peau. Je résistais, interloquée par cette attitude inattendue. Le regard de Florence était brillant, son corps collé au mien. J’étais perdue devant cette situation. Une douceur insidieusement créait en moi un conflit ; je refusais cette situation surprenante, mais de perfides picotements m’envahissaient. Soudain le grondement du tonnerre nous fit sursauter. Voulant me dégager dans une ultime manœuvre, je tournai la tête, offrant sans le vouloir mes lèvres à Florence. Délicieuse impression d’un plancher qui s’écroule, d’une lumière intense qui vous éblouit, d’entrer dans un univers inconnu où l’instinct du plaisir guide tout. La serviette inévitablement chuta. Deux mains, aussitôt, caressaient avec légèreté mes seins offerts. Je vacillais, envahie par de longs frissons, mon corps à l’abandon réagissait à cette disette trop longtemps contenue.
Mes lèvres s’ouvrirent, mon corps céda. Mes tétons, déjà durs, ...
... subissaient la succion d’une bouche avide. J’avais chaud, je tremblais, oubliant le paradoxe de la situation. Une forte pulsion se réveillait en moi. Mon corps criait son besoin sexuel. La bouche de Florence était envahissante, sensuelle, suçant mes seins, embrassant mon corps, partout, avec délice. Ma peau n’était que chair de poule, mon ventre s’enflammait. Inconsciemment, je devenais consentante. Mon sexe réagissait par une humidité, annonciatrice d’un plaisir attendu.
Les yeux mi-clos, je vis Florence se débarrasser de ses vêtements. Elle me renversa sur le lit. Nos baisers devinrent fougueux, partagés, passionnés. Seins contre seins, cuisses emmêlées, nos mains cherchaient, tâtonnaient le corps de l’autre. Sa bouche reprit mon téton droit, le mordilla, déclenchant mes premiers gémissements complices. Tout avait basculé. Dehors l’orage grondait, éclairant le ciel de flashs puissants, rendant irréelle la fusion de nos corps sur le lit. La bulle se refermait, nous isolant de toute réalité rationnelle.
Florence me dominait, embrassant, suçant, caressant mon intimité. Je n’avais plus conscience de ce plaisir interdit, qui s’offrait à nous. Nos corps exultaient. Je sentis la tête de Christelle entre mes jambes. Ses cheveux contre mes cuisses étaient une sensation, inconnue, mais combien exquise. Je me cambrai poussant mon bassin vers cette bouche intrusive, appelant à continuer cette caresse qui m’enflammait. Deux doigts investissaient mon sexe dans un va-et-vient intensifiant ...