Je me croyais sage (8)
Datte: 15/07/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Mrnestpasla, Source: Xstory
... amènent des râles de gorge baveux. Elle s’offre à ce jeu brutal sans aucune réserve. Je m’extrais de sa bouche et fais cogner ma verge sur son visage avant de la renfoncer au fond de sa cavité buccale. Elle s’abandonne à ma brutalité, à ma sauvagerie.
Elle est si légère qu’il ne me faut aucun effort pour la tirer vers moi et l’empaler sur ma verge où je la baise sans considération. Elle est secouée comme un pommier, mais elle semble adorer ça. Au contraire, le fait d’être un jouet sexuel semble augmenter son plaisir. De mes mains, j’agrippe son cul, ses cuisses, j’écarte pour mieux m’enfoncer. Je sens son jus sur ma tige qui coule sans cesse.
Pour ma part, je sais que je ne l’avais absolument intellectualisée à l’époque, mais je pense que je cherchais à lui faire admettre qu’elle préférait faire l’amour plutôt que de se faire baiser. Ou alors je voulais la dégouter de moi. Même aujourd’hui, 18 ans plus tard, je ne sais toujours pas vraiment. Dans tous les cas, c’était peine perdue.
Je ne la ménage pas, la considère à peine, je la baise à grands coups de queue. Je la retourne et la plaque sur le lit, elle sur le dos, moi à genoux. Je remonte ses jambes, passe mes coudes sous ses genoux et lui assène des coups de bite si forts que j’en ai eu des bleus au bas-ventre le lendemain. Et elle, elle me regarde transie d’amour. Elle passe sa main derrière ma tête et ses doigts dans mes cheveux pendant que son autre main pince ses tétons compulsivement. Je le vois, elle va ...
... jouir. Alors je trouve des forces supplémentaires et l’assaille plus violemment encore. Dans mes cheveux, je sens ses doigts se crisper, sa main appuyer sur l’arrière de mon crâne. Ses yeux se ferment, sa bouche laisse échapper un cri muet et dans son orgasme, c’est de justesse si elle ne m’éjecte pas de sa chatte dont chaque spasme écrase ma bite. C’en est à me faire mal plutôt qu’augmenter mon plaisir, mais peu importe, j’ai décidé de la défoncer. Ses tétons sont écrasés par ses ongles.
Dans un souffle que j’entends à peine, elle me dit qu’elle m’aime.
Pour moi, c’est comme si je me reconnectais à moi-même. Je me calme, mes gestes redeviennent posés. Je bouge plus lentement, plus délicatement en elle. Chaque fois que mon sexe passe un point précis en elle, je la vois prise d’un spasme. Ses doigts se relâchent sur ses seins, sa main dans mes cheveux devient caresse avant de la laisser retomber à côté d’elle. C’est comme si son corps s’arrêtait. Tout en elle se détend. Je relâche ses jambes qui s’allongent. Je n’ai pas joui. Je me laisse aller à m’allonger sur elle, en essayant de ne pas trop peser. Elle murmure à mon oreille.
— Ça va mieux toi ? Parce que moi, ça va très bien.
Je ne réponds pas tout de suite. Je n’ai pas joui, je ne sais pas vraiment ce qui s’est passé en moi pour que je me comporte comme ça, mais je me sens mieux. C’est à peine si je me souviens de ce qui nous a menés là.
— Oui, ça va mieux. Je suis désolé.
J’attends une réponse, mais rien ne ...