Je me croyais sage (8)
Datte: 15/07/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Mrnestpasla, Source: Xstory
L’après-midi s’enchaîne sans évènements. Aventuriers du rail, ScotlandYard et autres jeux de société au bord de l’eau ponctuent la journée avant de partir en balade dans la forêt qui jouxte le fond du parc. Je dis parc parce qu’au-delà d’une certaine surface, je n’appelle plus ça un jardin... Le soir, on dîne, on regarde un film, on fait du MarioKart sur N64 jusqu’à ce que Marion me redemande un massage. Sans attendre ma réponse, elle retire son chemisier et son soutien-gorge. Pour la première fois, elle le fait face à moi et pour la première fois, je ne me contente pas de deviner ses seins, mais les découvre pleinement. Ils sont bien plus gros que ceux de Diane, clairement plus lourds aussi, car ils retombent légèrement, mais du haut de ses 21 ans, ils se tiennent haut et ronds. Les tétons sont bien fermes, roses et dressés. J’essaye de plaisanter en disant quelque chose comme « Oh ! J’ai pas l’habitude de voir tout ça ».
Je suis assis sur le canapé, à côté de Diane, et je regarde sa sœur, topless, retirer son jean pour révéler un string gris en coton. Je n’ose pas tourner la tête vers Diane, mais elle ne dit rien non plus. Me voilà face à Marion quasiment nue. Seul le string gris qui dessine malgré tout la forme de sa vulve cache encore quelque chose. Elle me fait signe de lui faire de la place sur le canapé sur lequel elle s’allonge. Je me sens en terrain inconnu, mais je me lance dans le massage du dos demandé.
La nuque, les épaules... Je fais surtout attention à ...
... ne pas laisser mes mains s’égarer. Diane a changé de fauteuil et nous fait face et discute avec Marion du film qu’on a regardé le soir et j’ai l’impression qu’elles ont presque oublié ma présence. La peau de Marion est douce, plus blanche que celle de Diane. J’en arrive aux lombaires, le bas du dos, le haut des fesses. La tentation est énorme d’aller plus loin et je fais tous les efforts du monde pour ne rien laisser paraître, pour garder mes mains à leur place.
Marion, comme s’il n’y avait rien d’étrange à cette situation me dit : « Tu peux descendre plus, c’est super agréable. »
— Euh... Oui, si tu veux.
Je cherche le regard de Diane pour être sûr de ce que je fais, mais elle me regarde juste normalement. Je commence à masser les fesses de Marion. J’ai l’impression de marcher sur la lune dans une combinaison spatiale trop chaude et mal pressurisée. J’ai le cœur qui bât dans les tempes, presque les mains qui tremblent. Je ne sais pas quelle peut être la limite à ne pas dépasser. Est-ce que je peux caresser ? Masser ? Palper ? Empoigner ? Jusqu’où puis-je m’aventurer dans la raie ? Et si Marion me laisse faire tout ça, que va en penser Diane ? Si ça se trouve, elles me testent toutes deux pour voir si je suis fiable ? Si Diane peut avoir confiance en moi ? Dans ma tête, c’est la tornade, l’orage, la tempête.
Mes mains s’aventurent timidement, à plat. Bon, ça passe. J’écarte et appuie un peu le pouce pour offrir plus de relief à mon massage. On ne me fait aucune ...