Quel mal y a-t-il à essayer? Aucun, mais essayer c'est l'...
Datte: 14/07/2022,
Catégories:
fh,
hh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
école,
Oral
pénétratio,
fsodo,
hgode,
hsodo,
confession,
extraconj,
Auteur: Margrite, Source: Revebebe
... ta liqueur. As-tu jamais essayé ?
En tout cas, tu ne me refuses pas ce baiser et tout ce dont il est chargé. Mieux, maintenant que je te surplombe, tes mains s’emparent de mes seins qui se…
Oh, mon Dieu, ses paumes sont brûlantes. Je sens mes tétons se tendre vers elles. Ses doigts les découvrent et je gémis de ce qu’ils leur font. Il m’attire un peu plus et sa bouche les remplace. L’un après l’autre il les savoure et si une main s’occupe de l’orphelin, je sens l’autre qui descend doucement le long de mon ventre et se plaquer… Je gronde de ses caresses. Moi aussi je lance une main vers sa verge. Il bande. C’est comme si son érection ne s’était pas arrêtée.
Mais il se lève, me pousse sur le canapé et plonge entre mes cuisses. Son souffle est chaud, ses lèvres brûlantes, sa langue, un serpent qui se glisse partout. C’est à mon tour de le regarder. C’est à son tour de lever les yeux vers moi.
C’est promis je ne dirai plus jamais du mal des pornos sur internet et de leurs effets néfastes sur notre jeunesse. Sékou a dû regarder, essayer, répéter, tester sur ses copines et je comprends maintenant pourquoi chacune de ses conquêtes, même quittée pour une autre, faisait des compliments sur ce jeune homme. Je ne suis pas comme lui. Il y a longtemps que j’ai abandonné toute retenue pendant l’amour sachant combien les hommes aiment nous entendre les encourager et crier notre plaisir.
Et je l’encourage :
— Oui… continue… mon bouton… Comme ça… Encore… encore.
Et ...
... aussi le « Ahhhh » alors que je coule tout en bloquant son visage sur ma fente.
Ses tresses rasta sont soyeuses. On dirait une chevelure féminine, mais ce qu’il me montre en se levant et se plaçant sur moi, n’est pas de cette nature.
Déjà son sexe est sur le mien. Je m’ouvre aussi bien en esprit que réellement en écartant les cuisses afin qu’il se positionne facilement. Je le sens qui avance. Je suis si lubrifiée et ouverte que son gros chibre glisse sans effort. Une poussée continue qui m’ouvre pour envelopper de mon mieux ce bâton de chair, lui, aussi gluant que chaud.
Il me domine, faisant un pont de son corps, les pieds au sol, les mains sur le dossier du canapé. Il me possède avec de lents coups de reins. Son torse sombre est à peine souligné par ses deux petits tétons. Mes mains se plaquent sur son torse, caressent les pectoraux sans le moindre duvet. Je tourne autour de mon but et puis comme pour un sein de femme, je l’effleure avec ma paume, testant sa souplesse.
Il s’arrête de bouger. Je me soulève assez pour que ma bouche puisse venir se saisir de cette petite pointe et je le suce comme on tète un téton de femme. Il est surpris, probablement qu’aucune de ses copines ne l’a caressé ainsi. Probablement qu’avec elles il aurait refusé prenant cette caresse comme pas assez « mâle » . Mais moi, il me sait cochonne et expérimentée. D’ailleurs… d’un coup de reins, je le bouscule et le pousse sur le canapé. La seconde suivante, je le chevauche. Son torse me sert ...