1. Quel mal y a-t-il à essayer? Aucun, mais essayer c'est l'...


    Datte: 14/07/2022, Catégories: fh, hh, fplusag, jeunes, extracon, école, Oral pénétratio, fsodo, hgode, hsodo, confession, extraconj, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... vidéo, mais la distance ne lui rendait pas possible tout ce qu’il peut découvrir maintenant. Son regard est d’une indiscrétion folle. C’est presque comme une possession.
    
    Je m’agenouille devant lui, prêtresse devant ce magnifique bâton de chair. Bâton à la fois dur et souple que je sens vivre dès que je l’enveloppe de ma main. Le gland d’un rose très sombre tranche sur la hampe d’un noir profond. Il est circoncis et mes lèvres déclenchent un « Ohhh » qui vient de là-haut. Je lève les yeux vers lui. Nos regards se croisent. Je connais la puissance érotique de ces regards échangés entre mâle et femelle, mais je ne m’attarde pas. Il a dû rêver de cet instant. Le corps des hommes sur la vidéo cachait ma tête alors que je les pompais. Il n’a pu qu’imaginer. Rassure-toi, tu ne seras pas déçu. Je doute que tes copines, mais sait-on jamais avec toutes ces gamines et ces gamins nourris de vidéos pornos aux exploits qu’ils essaient de reproduire, ne t’aient jamais pompé comme je m’apprête à le faire.
    
    Tu grossis encore alors que mes lèvres font un anneau de chair qui avance un peu plus à chaque fois, pour revenir en arrière et repartir pour une zone que probablement aucune femme n’a jamais gobée. Un regard vers toi et je te découvre « scotché » de ce que je te fais. Je reprends… Je continue… Maintenant mes lèvres arrivent jusqu’à tes couilles qu’une main enveloppe tout en exerçant une douce pression. Je me bloque et me retire, libérant un flot de salive pour mieux y retourner. Je ...
    ... te pompe… Ma langue joue avec ton gland et, suprême caresse, lèche tes couilles alors que ton mandrin a totalement disparu dans ma gorge.
    
    La salive que je brasse, ma respiration que je contrôle, ne m’empêchent pas de t’entendre pousser des soupirs qui sont chacun une reconnaissance de mon talent. Ô, mon si jeune Sékou, si tu savais combien de bites j’ai sucées depuis que mon mari a voulu m’offrir à d’autres.
    
    Je m’active. C’est comme si tu baisais une gorge accueillante. Tu gémis… tu grondes… Parfois ta main se pose sur ma tête, mais c’est juste une seconde, juste pour me dire combien tu aimes. Tu es trop jeune pour savoir que la parole est un partenaire à part entière du plaisir. Je t’appendrai.
    
    Non, voyons, me dit cette petite voix qui est de la raison et qui surnage sur un océan de stupre, c’est juste une fois, pour le satisfaire et clore ce fantasme. J’accélère. Les soupirs aussi. Son mandrin est vraiment devenu gros et long. Mes lèvres ont du mal à l’envelopper, mais…
    
    — Ahhhhhhh…
    
    Le petit pervers, il n’a même pas fait mine de me prévenir ou de se retenir. Mais ce n’est pas grave, rassure-toi, j’aime le foutre et ce n’est pas souvent, à part mon mari et Raphaël que je m’autorise à le goûter.
    
    Tu te libères. Tu te vides dans la gorge de ta Proviseure ! C’est la femme ou la fonction que tu honores ainsi ?
    
    Mais est-ce que tes copines font comme moi et viennent de proposer un baiser dont tu ne peux ignorer combien il est chargé de perversité avec ce goût de ...
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