1. Ma colocation avec une femme mariée (4)


    Datte: 14/07/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Oggysan, Source: Xstory

    ... pas ! fis-je, indigné.
    
    — Il ne me satisfait plus, il est lassé de tout, il a prétexté le bien de notre fils pour partir un moment et me laisser seule et ne plus me côtoyer.
    
    — C’est dégueulasse.
    
    — Si tu veux mon avis, ça ne serait pas étonnant qu’il m’ait déjà trompé au profit de jeunettes qui en veulent qu’à son portefeuille.
    
    — Il ne trouvera jamais mieux que vous.
    
    — Et honnêtement, je suis lassée de son caractère, il se permet tout et ne me porte plus aucun intérêt, au mieux, je suis un trophée pour les soirées mondaines.
    
    — Vous voulez changer ça ?
    
    — Oui, par exemple, partager la vie de quelqu’un de plus jeune. Un grand garçon volontaire qui me sentira revivre. Tu as des petites amies toi ?
    
    — Euh... Pas en ce moment.
    
    Etrange cette conversation. Elle ne fait carrément des avances là ! Alors que je suis toujours allongé avec ma queue en l’air. Bon, je n’ai pas lui avouer que je n’ai jamais eu de copine de ma vie. A 19 ans, ça fait pitié. Mais là, son histoire sur son mari. Et ses avances ne me laissent aucune doute sur ses attentions.
    
    — Sérieusement ! C’est un exploit ! fit Laurine, choquée.
    
    — Si j’ai changé de ville, c’est que j’ose reprendre une nouvelle vie !
    
    — Je comprends. Donc ça te dérangera pas si...
    
    Avant même de terminer ma phrase, Laurine baisse mon caleçon ...
    ... et commence à me masturber. De la main droite.
    
    Dépucelé de la masturbation faite par quelqu’un autre.
    
    — Aaahh... Soupirais-je soulagé.
    
    — Laisse-moi faire.
    
    Laurine commença doucement les va-et-vient. Mais la satisfaction de la voir enfin s’emparer de Popol me satisfait tellement que j’ai déjà envie de lâcher la purée. Mais je me retiens pour faire durer le moment.
    
    Les mouvements s’accélèrent et la main commence à faire quelques torsions autour du manche. Du bout des doigts, elle appuie sur mon gland. Au bout d’une petite minute. Laurine accélère sans prévenir le mouvement. Sans m’en rendre compte, je fais tout sortir.
    
    Laurine sursaute en voyant le jet sortir. Mais me sourit et lâche ma bite. Celle-ci se ramollit.
    
    — Merci... Balbutiais-je.
    
    — Ce n’est pas fini. Je reviens. Ne te rhabille surtout pas !
    
    — Je t’attends alors ?
    
    — Oui tu peux t’assoir sur une chaise en attendant.
    
    Pendant que Laurine monte à l’étage. Je prends du sopalin dans la cuisine pour n’essuyer de mon foutre que j’ai foutu partout sur mon torse et sur la table de massage.
    
    Après avoir tout nettoyé, je m’assois sur une chaise de la salle à manger et j’attends. Je l’entends marcher et faire des aller-retour à l’étage. Cela dure environ 5 minutes.
    
    Soudain, je vois Laurine descendre.
    
    Elle s’est changée... 
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