Ma colocation avec une femme mariée (4)
Datte: 14/07/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Oggysan, Source: Xstory
... cuisses, ses doigts touchaient et frôlaient popol qui se dresse au moindre contact, j’espère qu’elle ne va rien remarquer...
Ses mains se retirent. Et elle se place au niveau de ma tête.
— Tourne-toi...
— Euh vraiment ?! répliquais-je, hésitant.
— Oui, j’ai fini le dos, tourne-toi. Dit Laurine en rigolant.
Elle ne sait pas que j’ai une gaule dantesque, si je me retourne, mon vieux caleçon sera comparable à un tipi. Impossible de la cacher !
— Qu’est-ce qu’il y a Carl ? Dit Laurine en revenant au niveau de ma tête.
— Euh... Rien rien. Je me retourne !
Me voilà sur le dos, chibre en l’air, avec seulement le tissu tendu du vieux Calabar pour cacher. J’ai la tête placée juste sous ses deux seins. Je n’arrive pas à voir son expression derrière eux. Je vois seulement la couleur rose de sa robe au-dessus de moi. Je me sens particulièrement gêné. Popol est là, tendu, debout, devant Laurine qui ne peut pas le rater.
— Oula... Lâcha Laurine.
— Euh... Oui ?
— Mon massage te fait... Beaucoup d’effet...
— Désolé. J’ai pas réussi à contrôler.
— C’est pas grave. Je n’y ferais pas attention. Mais calme-toi quand même.
Elle tente de calmer la situation comme elle peut. Comment elle est censée réagir ? Quel chien je suis ! Après, elle n’a pas l’air si dérangée que ça. Sinon elle m’aurait viré en vitesse. Sans rien dire de plus. Laurine masse mon torse en le regardant avec le sourire.
— Tu es bien fait de ta personne quand même.
— Tu... Tu ...
... trouves ?
— Ah bah tu as une jolie carrure, épaules larges, pas de gras, vraiment tu es un beau jeune homme !
— Je vous remercie vraiment.
C’est sûrement la première fois qu’une personne de la gent féminine, autre que ma mère, me complimente sur mon physique. Laurine continue de masser et descend de plus en plus vers mon bassin.
— Et moi ? Dit soudain Laurine ?
— Quoi ?
— Comment... Enfin. Comment tu me trouves ?
— Euh... Je...
Qu’est-ce que je dois dire ? Tous les soirs, depuis que je suis là, je rêve que je partouze avec elle et d’autres femmes ? Que je tâte popol tous les soirs en repensant à elle ? Non. Évidemment je dois rester mesuré.
— Tu peux être honnête, je t’en voudrais pas si tu dis que je suis pas à ton goût.
— Vous... Vous êtes une femme magnifique.
— Ah vraiment.
Laurine arrête de me masser pour me regarder en me souriant. Et ça alors que mon chibre est toujours debout et n’est pas prêt de se calmer. Laurine est tout prêt de lui. Seuls 10 centimètres et un bout de tissu le séparent d’elle.
— Dis-m’en plus.
— Je ne sais pas quel âge vous avez, mais peu importe, car vous êtes la femme la plus séduisante que j’ai rencontrée de ma vie.
— Tu exagères non ?
— Je vous assure, votre visage, votre corps, votre look, votre caractère. Tout joue pour vous.
— A ce point ?
— Si je dois tout dire, je suis très jaloux de votre mari, qui est un gros chanceux.
— Si c’est le cas, il n’en profite plus...
— Non ! Ne me dites ...