1. Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles (7)


    Datte: 10/07/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: megalosex, Source: Xstory

    ... voiture à proximité des pompes. Au même moment, un jeune homme sorti d’on ne sait où, se penche à la portière, et s’adresse à Petra :
    
    — Bonjour, c’est pour faire le plein ?
    
    Il s’interrompt, et son regard se pose sur les cuisses largement dénudées de la conductrice et de sa passagère. Petra lui sourit, tout en précisant :
    
    — Jeune homme, nous sommes plutôt venus pour voir quelqu’un. Je dois bien connaître le propriétaire de cette voiture …
    
    Elle désigne une Floride Renault de couleur blanche, immatriculée à Brno.
    
    — Ah … C’est celle de mon oncle. Je fais des remplacements l’été, comme pompiste, et comme il passait par là, il est venu me rendre visite. Vous voulez que je l’appelle ? Il vient juste de rentrer dans le bureau.
    
    La tante acquiesce. Quelques secondes après, un élégant quinquagénaire en polo et jean, apparaît. Il est visiblement très surpris :
    
    — Petra, ce n’est pas possible ! Tu m’as repéré dans cet endroit perdu ? C’est vrai que tu as une bonne vue … et, en plus je n’ai pas la voiture de monsieur tout-le-monde.
    
    Et, apercevant les deux sœurs :
    
    — Hum, tu es en bonne compagnie, dis-moi …
    
    — Ce sont mes nièces, je suis en visite chez leurs parents, dans la région.
    
    — Et … ce jeune homme ?
    
    — C’est Bob, un ami français d’Éva.
    
    Puis Petra se tourne vers nous :
    
    — Je vous présente Ludvik. Nous nous sommes bien connus à une certaine époque.
    
    Le dénommé Ludvik sourit de toutes ses dents. Ce « bien connus » doit avoir pour lui une saveur ...
    ... particulière. Et comme nous sommes toujours assis dans la voiture, il en profite pour mater ces belles jambes si généreusement dévoilées. Puis, il se redresse et désigne sa voiture :
    
    — Bon, gare-toi devant la mienne, puis on ira s’installer à l’intérieur. Vous avez le temps, j’espère ? Mon neveu arrête son service à 12 h 30.
    
    Il est presque 11 heures quand nous nous retrouvons dans le bureau.
    
    La pièce n’est pas très grande. Sur deux côtés, il y a des rayonnages contenant des produits divers. Sur les deux autres, on trouve un comptoir, et, lui faisant face, un vieux canapé en moleskine arrivé jusque- là, on ne sait comment. Ludvik nous désigne le canapé :
    
    — Asseyez-vous là. Rien d’autre à vous proposer …
    
    À première vue, il n’est pas bien grand. Pour trois personnes, quatre en se serrant un peu. Nous nous apprêtons à faire une place à Petra, quand Ludvik l’interpelle :
    
    — Viens donc ici ! Cela fait un bout de temps que l’on ne s’est pas vu, n’est-ce-pas ?
    
    Il lui désigne une chaise haute qu’il vient de sortir de derrière le comptoir. Elle s’y installe, tandis qu’il s’assied, nonchalamment, sur le comptoir même.
    
    Il est juste en face de nous, et un peu au- dessus. La vision doit être fascinante, d’autant plus que Jana a conservé sa robe retroussée maintenue par des épingles et Éva, qui a négligé de reboutonner le bas de sa robe. Quant à la tante, assise sur sa chaise haute, elle en dévoile pas mal non plus. Et moi, assis entre les deux sœurs, attendant la suite ...
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