Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles (7)
Datte: 10/07/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... pose ma main sur sa cuisse, juste à la limite de la jupe. À cette heure-là, les promeneurs sont rares. On voit plutôt des sportifs, parcourir les allées à petites foulées. Ceux que nous croisons ont un regard plus qu’intéressé en voyant les deux sœurs.
La tante se contente de me sourire. Alors ma main se faufile sous sa jupe, jusqu’à palper sa culotte.
Je lui murmure :
— Faites comme vos nièces : enlevez- moi ça !
Sans dire un mot, elle se dirige vers un arbre, en bordure d’allée, et, prestement retire sa culotte et la place dans son sac à main.
— On va s’asseoir un moment, les filles ? Je vois un banc, là-bas.
Il est à l’ombre, sous un arbre. Et quand Éva et Jana s’assoient, précautionneusement, il est clair que les voyeurs seront à leur affaire ! Toutes leurs jambes nues offertes aux regards, avec, en prime, pour ceux qui sont dans le bon angle, une vision fugace de leur chatte. Les cuisses de la tante sont tout aussi largement offertes aux regards. Et comme je suis assis à côté d’elle, elle laisse ma main explorer le dessous de sa jupe, jusqu’à sa vulve. Et quand je la retire, c’est aussi pour caresser la cuisse de Jana, assise à ma gauche. Nous nous amusons des regards, plus ou moins appuyés, de ces sportifs du dimanche, qui passent devant nous. Mais prêts, à tout moment, à filer en douce, si cela devait provoquer un attroupement. Courageux, mais pas téméraires.
Pendant un bon moment, ce petit jeu fait le régal des voyeurs. Puis, Petra se redresse ...
... :
— Eh, les filles, vous voyez ce que je vois ? Côté gauche.
Nous tournons la tête. À cent mètres environ, deux policiers en patrouille, viennent dans notre direction. Nous aurait-on signalés ? Peu probable, mais nous nous levons, pour nous diriger, lentement, vers une allée qui va vers la droite. Nous respirons en voyant les policiers poursuivre leur patrouille. Commentaire de Petra :
— Peut-être que ça leur aurait plu … sait-on jamais. Au fait, quelle heure est-il ?
Je consulte ma montre :
— 10 h 25.
Petra réfléchit :
— Si on rentrait ? Ces flics ont saboté mon spectacle.
Les deux sœurs s’amusent de la formule :
— Ce n’est pas facile de jouer les exhibitionnistes dans un parc, n’est-ce-pas ?
Dix minutes plus tard, nous démarrons. À la sortie de la ville, alors que nous arrivons à la hauteur d’une station-service située en retrait de la route, Petra freine. Puis, elle repart en marche arrière et s’engage sur le chemin de la station. Éva s’en étonne :
— Tu as besoin de prendre de l’essence ?
— Non, mais je viens de remarquer une silhouette à côté d’une voiture. Et j’ai bien l’impression que je connais l’une et l’autre.
Éva est intriguée par l’initiative de sa tante.
— Ah, bon, tu arrives à voir à cette distance ?
Petra passe la langue sur ses lèvres, puis débite d’un trait :
— Disons que tout le monde n’a pas une voiture comme la sienne… Et donc ce pourrait être bien lui. Alors, autant vérifier, pas vrai ?
Petra stoppe la ...