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Myrtilles
Datte: 10/07/2022, Catégories: fh, jeunes, extracon, Collègues / Travail médical, caresses, Oral préservati, pénétratio, occasion, Auteur: Lavay, Source: Revebebe
... part un jeune réceptionniste. Je la prends par le bras en passant et poursuis mon chemin vers les toilettes. Elle se colle à moi tout en marchant. — Oui, chéri, je dois te laisser… On m’attend… On se voit dans quelques jours… Bisous. Elle raccroche. — C’était mon mari, dit-elle moitié amusée, moitié gênée. J’ai un éclair de doute, je ne sais pas si elle veut arrêter le jeu ici ou si elle a insisté volontairement sur le fait que son mari était absent ces jours-ci. De toute façon je ne peux plus reculer, c’est mon sexe qui donne les ordres et il n’en connaît qu’un : ‘’marche avant’’. On passe la porte des toilettes pour femmes, je l’emmène dans la cabine handicapée. Elle se laisse faire. Je la plaque contre le mur et pose mes mains sur ses hanches. Ma bite arrive au niveau de son nombril. Je me colle à elle. Elle lâche un soupir délicieusement long et sensuel. Ça me fait craquer. Je me penche légèrement et pose mes lèvres sur le coin de sa bouche. Second soupir. Elle ferme les yeux. Elle est mûre, je suis excité. Je l’embrasse alors à pleine bouche. Elle répond à mon baiser avec passion. Elle a un délicieux goût de myrtilles mélangé au vin rouge. Le goût sucré de ses lèvres me rend fou. Le baiser d’abord humide puis mordant devient vite passionné. On se frotte l’un à l’autre tout en se caressant les lèvres mutuellement. Chaque contact de son corps contre mon sexe dressé entre nous me déclenche une onde plaisir. Mes mains pétrissent ses fesses. — J’en avais ...
... tellement envie, me susurre-t-elle à l’oreille avant de m’en mordiller le lobe. Cette phrase achève de me rendre fou. J’enfonce ma langue dans sa bouche et nous commençons une valse à mille temps. — Il va falloir y retourner sinon ça va paraître bizarre, me soupire-t-elle à nouveau à l’oreille. Mais en me disant cela, elle caresse ma bite au travers de mon pantalon, allant doucement et délicatement de bas en haut. Je n’en demandais pas plus. Ma main plonge sous sa jupe et se pose sur son sexe encore habillé du nylon de ses collants. Je sens pourtant toute l’humidité qui s’y est accumulée pendant la soirée. Elle gémit doucement, j’ai des frissons dans le dos. Je commence à imprimer une légère pression avec ma main sur l’objet de mon désir quand elle s’extirpe de mon étreinte. Rosie par l’effort elle me dit : — Il faut vraiment qu’on y aille, les gens vont se poser des questions. Je pars devant. Elle réajuste sa jupe et sort des toilettes. Je ne peux détacher mes yeux de ses fesses dansantes. Je reste un moment, tentant d’arranger la position de mon sexe pour cacher au mieux l’érection qui ne m’a pas quittée puis je sors à mon tour. Tout le monde est dans le hall en train de récupérer ses manteaux et de terminer les discussions du repas. Julie fait la conversation avec deux autres femmes. — On se retrouve bientôt, merci encore d’être venues cette année. Pour me donner bonne contenance je m’approche de Fabien, un de mes co-internes, issu lui aussi de la ...