1. L'érotisme du cyclisme (1)


    Datte: 10/07/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Roberts, Source: Xstory

    ... l’eau, Martial savourait la bouche experte de Pascale lorsqu’il vit les deux femmes sortir de l’étang : une filiforme, bien gaulée pour son âge, et une autre qu’il jugea aussitôt comme la quintessence de la Femelle. Comment avait-il fait pour ne pas la repérer, celle-là ? La sortie de l’eau d’Ursula Andress dans le film de James Bond ne lui aurait pas fait plus d’effet. Ces deux obus qui pointaient dans sa direction, défiant les lois de la pesanteur ; ces hanches larges cernant un pubis brun abondamment fourni ; ces cuisses solides et bon Dieu, ce cul quand elle se pencha pour s’essuyer avec son maillot. Un cul joufflu à souhait, à la raie longue et profonde, fait pour l’enculation. La bite de Martial s’allongea de quelques millimètres dans la bouche de Pascale, qui crut à tort que c’était le résultat de sa technique. Martial se retira prestement et se dirigea pine en avant vers Agnès.
    
    Celle-ci sursauta en le voyant arriver, mais quand il lui prit la main pour l’attirer à lui, elle ne le repoussa pas. Elle écrasa ses seins contre son buste, répondit à son baiser et ressentit une petite déflagration quand sa bite tendue entra en contact avec son ventre. Elle eut alors une pensée fugitive pour son mari. C’était le moment critique où il fallait refuser ou accepter. Mais la surexcitation vaginale provoquée par la selle, qui s’était un peu calmée dans l’eau fraiche, réapparut de manière irrésistible. Il lui fallait cette bite pour la calmer, l’apaiser. L’image du mari ...
    ... disparut de son esprit. Elle voulait baiser maintenant, tout de suite, comme les autres filles dont les cris d’extase tout proches incendiaient son ventre et Martial le comprit aussitôt.
    
    Il l’entraîna dans la clairière où deux couples forniquaient avec enthousiasme. Agnès reconnut Sandrine, dont les longues jambes entouraient le dos puissant et velu d’un quinquagénaire visiblement encore très gaillard. Martine, la sexagénaire avec laquelle elle s’était baignée, avait également trouvé un chevalier servant en la personne d’un jeune homme visiblement peu expérimenté, mais qu’elle guidait avec un sens aigu de la pédagogie érotique. Martial allongea Agnès à côté de ce couple contrasté. Au lieu de la pénétrer tout de suite comme elle l’espérait, il la lécha longuement, comme pour savourer le moment présent. Elle croisa le regard de Martine, prise en levrette par le jeune homme, qu’elle admonestait crument comme un prof son élève. C’était la première fois qu’Agnès faisait l’amour en compagnie d’un autre couple et loin de l’inhiber, cette première poussait son excitation à son paroxysme, si bien qu’elle lâcha :
    
    — S’il te plaît, baise-moi maintenant.
    
    Alors, Martial la prit par les chevilles, les écarta et s’enfonça lentement en elle à genoux, captant son regard énamouré, dosant son va-et-vient avec un soupçon de perversité pour qu’elle vienne à sa rencontre. Agnès se mit à gémir, à proférer des propos inintelligibles, à ruer dans les brancards, faisant trembler ses seins lourds et ...
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