1. Les dessous d'un sous-préfet


    Datte: 20/08/2018, Auteur: Inconnue52, Source: Revebebe

    ... D’ailleurs, il ne le recherche pas systématiquement et ça me convient. Je crois que si notre aventure se poursuit, j’oserai le guider dans ses gestes pour vivre ce moment avec lui ; mais ce n’est pas une fin en soi. En fait, il sait être à l’écoute de mon corps, et veut que nous vivions ensemble nos fantasmes les plus fous !
    
    LUI : Son corps, ses seins, ses mains sur moi me manquent j’adore quand elle me caresse tout le corps, ses mains m’effleurent à peine mais me donnent des sensations extrêmes, que je vis les yeux fermés ne voulant pas qu’elles cessent. En plus, elle aime parler, exprimer ses envies, ce qu’elle ressent en faisant l’amour, et j’aime car je suis comme elle. Je crois que petit à petit elle pourrait me dominer, et je pense que j’en ai envie, comme c’est difficile de l’avouer !
    
    Ne pas encore le lui montrer trop ! J’ai envie de tout faire avec elle. Pourquoi ? Elle me comprend, elle aime le sexe et me respecte comme je le fais avec elle, ne me juge pas. Pourquoi je dis cela ? Parce que lors de notre dernière rencontre, j’ai osé lui confier un secret délivré à personne. Maman avait une amie, Marie, qui venait souvent à la maison, une belle femme, plantureuse avec de gros seins fermes. J’avais dix-neuf ans, elle quarante, j’étais timide avec les filles de mon âge - je me suis bien rattrapé depuis ! - mais avec une envie de sexe énorme !
    
    Marie me plaisait, je lui plaisais, au vu de ses regards appuyés. Une fois, j’étais assoupi sur mon lit, dans ma ...
    ... chambre ; Marie est venue, me demandant où était ma mère. Dans un état semi-comateux, la sentant assise à côté de moi, si près, sa jupe courte montrant ses cuisses, ses seins serrés dans son corsage qui s’ouvrait légèrement et me laissait deviner la profondeur, une pulsion irrésistible m’a poussé à lui mettre une main sur la cuisse.
    
    Surprise elle s’est dégagée, mais trop mollement, alors j’ai récidivé, et comme nos regards se sont croisés et qu’elle a lu l’envie que j’avais d’elle, elle s’est laissée faire . Nos bouches se sont trouvées et ce fut le début de 2 années de folies sexuelles. Le mari de Marie était marin, donc peu souvent là. Je lui faisais l’amour tous les jours, dans tous les endroits possibles de la maison - sur la table de la cuisine, contre un mur. Je dois même avouer que j’étais jaloux des retours de son mari ; il me prenait ma maîtresse, j’avais du mal à supporter qu’il la touche. Mais c’est avec moi qu’elle avait du plaisir ! Et bien ce secret je l’ai avoué à Élisabeth et à ma grande surprise cela l’a excitée, elle a voulu des détails et elle m’a même demandé comment Marie m’appelait dans l’intimité.
    
    Depuis elle me murmure :
    
    — Viens, mon bébé, prends-moi.
    
    Je reconnais que je peux alors difficilement retenir ma semence. Comment a-t-elle fait pour que je lui confie cela ? Je n’étais pas au bout de mes surprises. J’ai peur d’être vulnérable, il faut que je la soumette !
    
    MOI : Je le vois ce soir, il m’a dit de venir sans soutien-gorge, ce que je fais ...
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