Les dessous d'un sous-préfet
Datte: 20/08/2018,
Auteur: Inconnue52, Source: Revebebe
... qui s’appuyait sur moi et soudain nos regards se sont rencontrés et nos bouches se sont trouvées.
MOI : Quel baiser !!! sa bouche était chaude et douce, sa langue cherchait la mienne et l’aspirait goulûment. J’ai su, à cet instant, que je le voulais complètement.
LUI : Il faut que j’y aille doucement, mais j’ai envie de l’effleurer, de la toucher, de l’embrasser partout. Quel baiser ! J’aime sa bouche. Je la veux complètement à moi.
MOI : Il prit ma main dans la sienne qui était douce et chaude, et nous sommes montés dans la chambre. Je dois avouer que mon intimité était tout humide. Nous eûmes tôt fait de rouler sur le lit. Là, ses mains coururent sur mon corps et sa bouche m’embrassait à perdre haleine. Dès que je reprenais mon souffle, il me disait « embrasse-moi » d’un ton ferme. Ce fut le début de son autorité sur moi. Je m’empressai d’obéir, et j’ai su à cet instant qu’il pourrait alors faire ce qu’il voudrait de moi. Mes seins étaient dressés par les caresses de ses mains et de sa bouche qui les tétaient. Mais moi aussi je le touchais, je voulais connaître tous les recoins de son corps ; mais surtout je voulais toucher son sexe durci contre moi. Je me suis empressée de le caresser et une pulsion irrésistible me fit le prendre en bouche.
Aussitôt, Pierre m’ordonna :
— Lèche, mets de la salive.
Je m’exécutai au mieux tout en passant des petits coups de langue tout le long, aspirant son gland au passage. Que c’était bon ! Quant à mon corps, il était en ...
... feu, mes cuisses s’écartaient involontairement, mes fesses se soulevaient et n’attendaient qu’une seule chose : qu’il me pénètre. Mais Pierre aime prendre son temps, il sait m’emmener près de la jouissance mais se reprend pour me faire attendre. Dire que je mouillais ne serait pas vrai, j’étais trempée. Quand enfin il céda à l’appel de mon corps, je ne pus retenir un cri de plaisir de le sentir en moi :
— Viens, Pierre, prends-moi, profondément, embrasse moi, j’ai envie de toi, j’aime te sentir en moi.
Pierre avait compris que j’aimais cette domination, que je jouissais autant par mon corps que par nos échanges de paroles, d’ailleurs il est comme moi. Il n’a pas joui tout de suite, il a encore attendu , acceptant mes caresses sur tout son corps, il se laissait aller. Puis soudain, sa queue se raidit davantage au fond de moi et je sentis une chaleur m’envahir en même temps que j’entendais ces gémissements de plaisir.
Ce fut le début de nos jeux érotiques.
Je suis rentrée chez moi fourbue mais satisfaite. Pas « satisfaite » dans le sens « je l’ai eu », loin de là, juste le « satisfaite » qui voulait dire, « il m’a comblée, mon corps a eu ce qu’il voulait : du plaisir, de l’émotion, et il est repu ». Je n’ai pas vu le chemin du retour alors qu’il faisait un temps épouvantable, j’étais sur mon nuage, revivant nos caresses.
Et puis c’est dans ma nature, le doute s’est insinué au fond de moi : a-t-il apprécié ? Aura-t-il envie de me revoir ? Pour me rassurer, je me ...