1. La grande prêtresse


    Datte: 06/07/2022, Catégories: fh, fffh, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme pied, caresses, Oral pénétratio, hdanus, fouetfesse, sf, dominatio, Auteur: Tiberius, Source: Revebebe

    ... obtenu le droit de vote, finalement.
    
    Déesse Lilith se mit debout et claqua des doigts à mon intention. Je me mis à quatre pattes et la suivis jusqu’au grand escalier du manoir, tandis que Lévana et les quatre novices entamèrent une mélopée envoûtante, dont les paroles célébraient l’amour et l’avènement du règne de la Grande Déesse. Ma déesse m’autorisa à me mettre debout pour monter les marches et dès que nous fûmes arrivés au deuxième étage, elle claqua à nouveau des doigts pour m’intimer l’ordre de me remettre à quatre pattes. Nous arrivâmes dans une vaste chambre au milieu de laquelle trônait un lit à baldaquin énorme. Je reçus l’ordre de m’y coucher à plat ventre.
    
    — Je vais te masser les fesses avec une lotion apaisante, fit la déesse.
    
    Au bout de quelques instants, je sentis sa main se poser sur mes fesses avec un liquide froid et un peu gluant qui apaisa de façon presque immédiate la brûlure que je ressentais à cause de la formidable raclée que ma déesse m’avait infligée. Elle m’en badigeonna soigneusement les fesses pendant que je m’abandonnais à ses caresses, totalement soumis. Elle m’écarta ensuite délicatement les fesses pour frotter mon anus avec la lotion, puis je sentis comme un doigt s’y introduire.
    
    C’était une sensation nouvelle pour moi. Jamais on ne m’avait fait cela. Je n’osais bouger ou retirer son doigt, de peur de fâcher ma déesse, mais la sensation était étrange.
    
    — Mets-toi à quatre pattes, mon esclave, me chuchota-t-elle.
    — Oui, ma ...
    ... déesse.
    
    Je m’exécutai. Les mouvements de son doigt à l’intérieur de moi se firent plus pressants, plus rapides. Et je sentis qu’elle m’en introduisait un deuxième pendant qu’elle me murmurait à l’oreille.
    
    — Mon pauvre petit esclave sans défense… Mon pauvre petit esclave nu et entièrement soumis à ma volonté… Je peux te faire tout ce que je veux. Tu le sais, n’est-ce pas ?
    — Oui, ma déesse.
    — Et tu sais pourquoi ?
    — Oui, ma déesse. Je suis votre esclave, ma déesse, je vous appartiens. Et…
    — Oui ?
    — Et je vous aime, ma déesse.
    
    Elle se retira de moi, puis me dit :
    
    — Déshabille-moi, esclave. Vite !
    — Oui, ma déesse.
    
    Je me redressai, puis lui enlevai sa houppelande grise. Elle me prit entre ses bras, puis m’embrassa. Ensuite, elle descendit jusqu’à mon entrejambe et commença à me couvrir les couilles de baisers, puis à les lécher. Enfin, elle empoigna mon sexe, le mit dans sa bouche, et le suça longuement et langoureusement tout en me regardant dans les yeux. J’étais au comble du bonheur, je me sentais totalement appartenir à déesse Lilith, j’étais sa chose, son objet, son esclave, et je ne voulais être rien d’autre que l’instrument docile de sa volonté. Tel était, en cet instant et depuis qu’elle m’avait donné la fessée, le but de mon existence. Tandis que mon sexe était dans sa bouche, telle était la compréhension mystique de ma condition.
    
    Ensuite, ma déesse se retourna et me dit :
    
    — Prends-moi, esclave ! Dépêche-toi !
    
    Je n’avais pas fait l’amour avec une ...
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