1. La grande prêtresse


    Datte: 06/07/2022, Catégories: fh, fffh, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme pied, caresses, Oral pénétratio, hdanus, fouetfesse, sf, dominatio, Auteur: Tiberius, Source: Revebebe

    ... placer devant l’une d’entre elles et tu vas lui montrer tes fesses, en te mettant à quatre pattes, les jambes bien écartées et la tête basse, touchant le sol. En position de soumission totale devant celle qui va te punir. C’est clair ?
    — Oui, Lévana.
    
    Je les regardai toutes les cinq, encore toutes nues. Je n’hésitai pas une seule seconde. Je me dirigeai à quatre pattes vers la magnifique rousse, puis me retournai et me plaçai dans la position indiquée. J’attendis quelques instants qui me parurent une éternité, pendant que les novices riaient de ma position on ne peut plus incongrue, sur le sol devant elle, exhibant à leurs regards et surtout à ceux de la jolie rousse qui se tenait juste derrière moi, mes fesses, mes couilles et mon anus.
    
    — Très bien, les filles, vous pouvez vous rhabiller, fit Lévana. Nous allons au salon des glaces pour que Garnion reçoive sa fessée.
    
    Les novices reprirent leur houppelande et l’enfilèrent rapidement, sans prendre le temps de se sécher entièrement. La déesse rousse que j’avais choisie pour m’infliger mon châtiment claqua des doigts et me dit sur un ton cinglant :
    
    — À mes pieds, esclave !
    
    Je baissai les yeux et me plaçai à ses pieds, toujours à quatre pattes. Nous nous dirigeâmes vers le salon des glaces, moi marchant aux côtés de cette magnifique déesse, la dévorant discrètement des yeux et, à mon corps défendant, avide de subir sa fessée. Au milieu du salon, il y avait cette petite chaise où Lévana m’avait puni pour la ...
    ... première fois, entre ces grands miroirs qui m’offraient à tout instant, sans doute de façon délibérée, un reflet de ma propre déchéance. La novice rousse s’assit sur la chaise et claqua à nouveau des doigts. Je me plaçai sur ses genoux dans la position que l’on m’avait apprise. Elle posa sa main sur mes fesses, les caressant avec douceur, puis dit :
    
    — Combien de coups, Lévana ?
    — Jusqu’à ce qu’il pleure et te supplie humblement d’arrêter, répondit cette dernière.
    
    Le premier coup partit immédiatement après sur ma fesse droite, cinglant. Puis un autre et un autre, incessamment. Je retins premièrement mes cris, puis je commençai à gémir doucement et ensuite à crier à pleine voix sous chacun des coups que cette jeune femme dont j’avais admiré peut-être trop imprudemment la beauté m’assénait sur mon cul douloureux. À un moment, elle s’arrêta :
    
    — Tu as eu ton compte, esclave ? me demanda-t-elle.
    
    Je sanglotai bruyamment. Je n’arrivais pas à répondre tant mon souffle était coupé par la souffrance et l’émotion. Les coups repartirent, peut-être plus fort que la fois précédente, je comptai jusqu’à vingt, puis me décidai enfin à la supplier.
    
    — Je vous en prie, maîtresse ! m’exclamai-je. Je n’en peux plus !
    
    Elle continuait à me martyriser les fesses. Un, deux, trois, quatre coups, tandis qu’elle me disait :
    
    — Je veux une supplication plus respectueuse, esclave ! Réfléchis un peu à la formulation, pour ton bien !
    — Je vous supplie d’arrêter, maîtresse ! Je vous en supplie, ...
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